Certis
Certis
esthète cathare malicieux, plein de mauvaise foi, grand amateur de vin, geek à ses heures forcément perdues, aimant le genre humain à la déraison comme tous les misanthropes
Ses blogs
Le blog de Certis
Ecrire pour être lu, c'est prétentieux. Ecrire pour soi, c'est égoïste. Mais tenir un blog pour ne pas être lu, c'est franchement con.
Voila mon blog et toute la magie de l'ordinaire que je rencontre
Certis
Articles :
322
Depuis :
17/01/2010
Categorie :
Humour
Articles à découvrir
Aujourd’hui c’est un jour sans... sans envie, sans entrain, sans joie matinale, sans plaisir de l’anticipation d’une journée nouvelle, sans appétit de l’avenir imminent. cela arrive me direz-vous, mais cela m’arrive de plus en plus souvent. oh bien sûr je vais m’atteler à ma tâche, ma raison d’être et ce qui me fait vivre. mai
Blague zoophile : c'est un mec qui rentre dans un bar ...
Etape 1 : appeler son chat grain. etape 2 : le noyer
"dans le consulting il n’y a pas de droit du travail, il n’y a que des jurisprudences" tiré de l'excellent blog plooooooc
En matière d'humanité il faut toujours espérer le meilleur et se préparer au pire
Réflexion existentielle - il existe tel homme qui parle inconsidérément comme avec des coups d'épée
Chaque jour, des millions de verbes sont victimes de violences conjugales. ne les oublions pas !
Mon mail d'au revoir à la fin d'un mission longue : bonjour à tous, après bientôt un an et demi passé en votre compagnie, ma mission s’achève bientôt (musique triste de violons derrière). toutefois qui dit départ, dit pot de départ ! (musique joyeuse cette fois) vous êtes donc tous conviés dans la salle café pour partager quelques pe
Http://short-edition.com/oeuvre/poetik/les-petits-bonheurs quelques picotements se changeant en frissons, une infime sensation qui vient du fond de moi, qui grandit puis se cache pour revenir plus forte... se retenir est aussi difficile que le laisser aller, et déjà mon corps n’est plus mien. je ne pense, ni n’ose respirer, je ne suis que sen
Quelques picotements se changeant en frissons, une infime sensation qui vient du fond de moi, qui grandit puis se cache pour revenir plus forte… se retenir est aussi difficile que le laisser aller, et déjà mon corps n’est plus mien. je ne pense, ni n’ose respirer, je ne suis que sensations. des soubresauts m’animent que je ne peux conteni