De la faucille du néolithique à la moissonneuse-batteuse d'aujourd'hui : deux photos suffiront pour illustrer ce petit article très peu patoisant mais ô combien riche en connaissances que je tenais absolument à partager avec les lecteurs de notre blog.
selon pline l’ancien (23-79) les gaulois utilisaient des chars de fauchage dotés d’un o
Olivier Chambosse
Olivier Chambosse
Pllus Téméraire que coradzeux, dz'sus le dzveux !
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Tourisme, Lieux et Événements
Articles à découvrir
- j'apprends le patois de chez moi.odt
"j'apprends le patois de chez moi" (haut maconnais) est provisoirement terminé. en voici la trentaine de pages en version word ou odt que vous pourrez modifier, améliorer, remplacer selon le patois de chez vous. une version pdf existe sur "pages" après le paragraphe 9 dans "j'apprends le patois de chez moi.
Vos avi ti le temps de fâre un dzardin ? y é quaziman des vacances un dzardin ! y a du monde qu'en fan un tot ch'tit ! y a pas meû que d'mandzi s'que nos piante !! il y a encore dans le jardin d’autres légumes, plantes et animaux à traduire en patois. vos idées sont les bienvenues…en voici une petite liste à compléter... les légumes le
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le nom du père. cette expression cache un geste très répandu dans les campagnes jusqu’à la seconde guerre mondiale : le signe de la croix. on faisait le nom du père et parfois on le disait. l’histoire qui suit a largement dépassé le cadre du pàys du tseu ; en voici une version tseu. un tire-veurtiaux accompagné de deux témoins est v
Le texte qui suit m'a été transmis par eric condette ; nous n'en connaissons pas l'auteur. j'y ai apporté quelques petites modifications pour qu'il s'intègre mieux dans le système de transcription graphique que je continue à mettre en place progressivement.
dans/un vlâdze à coûté d’seuvgnon nos ans vu arriver à l’égllise eune bonne-
Voici un document qui illustre l’état du tseû francoprovençal dans le département de la saône-et-loire. cette petite histoire a été écrit par alphonse camuset, né en 1864 dans la commune de montpont-en-bresse, dans l’arrondissement de louhans, un peu au sud de la seille, et de la bresse « bourguignonne » proprement dite. alphonse cam
Voici le petit texte en patois, suivi de sa traduction, qui a été lu le 10 mars lors des obsèques de notre ami andré fargère, membre actif et assidu de notre cardzot.
dédé, dz’crayins qu’t’aros vivu tanque à cent ans, mâs, ouate, vlà-ti pas qu’ t’as dreumi, dreumi apeu achtheure, te dreumes toudze. te les as laichis tot sus les
L’ père philibert voulot tuer son vioux tsin. ol étot triste, arri o pouyot pas fare çan à çte poure bêite ; y lu fàyot bié dla pouiñne. vlà don qu’ o’ s’ pensot qu’ o devrot aller vâ l’ père tossaint p’ lu dmander çtu service. y étot dach’tôt conv’nu. is vant vé la veurtsire, is fàyant un pertu bié preuyond. l
Ce 195ème article en deux ans sera le dernier avant la mise en sommeil du présent blog dont l'url va changer d'ici quelques jours. les commentaires seront fermés. mais rien n'est jamais bien sûr et il n'est pas exclu que quelques billets viennent encore enrichir le blog, au gré des envies des rédacteurs. nouvelle adresse : patois-charolais-br
Ne rien gaspiller ! telle était la règle absolue dans nos campagnes. il n'y avait pas de détritus, tout était recyclé, réutilisé, reconditionné. n'importe quel objet pouvait grâce à l'ingéniosité et à l'adresse de l'homme, devenir utile ou simplement beau.
ren pééirde, y’étot eune règlle de vie. tot pouyot seurvi, tot seurvot un