Les cigognes . l’échassière héla l’échassier plume plume tralala d’ailée à ailé, d’épouse à époux : « dis-moi gontran, toi qui te prétends grand savant il était en effet les deux à la fois : et gontran et – relativement- savant toi qui sais presque tout sur tout, de la chaste colombe jusqu’au vilain pou dis-moi : peut-on,
Petitalan
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Etrangler l’étranger. « entendez-vous dans nos campagnes mugir ces féroces soldats » qui ne se rappelle le terrifiant chant… ah ! l’étranger, venu d’ailleurs et parfois de pas si loin maudit soit-il à jamais « qui vient jusque dans nos bras, etc. » assez ! recourons aux services de notre chère aviation qui avec son zèle et ses ail
La puce et qu’ça saute ! allez la puce, on y va, on y va t’’inquiète, pas de coup de sang, prends ton temps pique gaillardement dans le tas surtout n’hésite pas pique, pique pic et pic et colégram bour et bour et ratatam gave-toi et éclate-toi dans la joie profite du moment présent, ne te fais pas de mauvais sang d’ailleurs tu n’e
15 décembre, sainte ninon. pleine lune. avec ninon c’est toujours la même chanson - la musique sans les paroles – posez-lui la question : « pleine lune, tu nous la montreras ou pas ? » elle ne répondra pas pas même ni oui, ni non tout aussi têtue que l’âne qui ne consent ni à avancer ni à reculer obstinée. alors patience en attenda
9 décembre : on fêtait l’immaculée conception la décharge héroïque sans témoins, des faits datant de la nuit des temps en un exercice original et délicat. pas une marque, pas une trace. *** aujourd’hui applaudissons chaleureusement les lauréats de notre grand prix de la discrétion et de l’hygiène rigoureuses : gabriel (l’archange
Reconnu aimable bolet (appellation contrôlée), j’ose me montrer à tous tel que je suis pas comme la truffe, ma cousine, qui elle se planque - alors que je suis l’objet de toutes les convoitises. regardez-moi bien, juges impartiaux, regardez-moi bien et ensuite expliquez-moi comment puis-je être paradoxalement tout à la fois beau et laid. q
Au pays des zoulous, des gnous, des femmes parées de boubous cohabitaient une chouette gracile et un imposant hibou la chouette affichait une silhouette svelte avec une cambrure parfaite, vraiment chouette le hibou qui la dévorait des yeux en était tombé amoureux « princesse, s’il te plait, oublie les relous et les tabous ni vus ni connus, o
Mary tudor et le roi faisaient majestueusement couche commune certaine nuit, un rayon de lune pénétrant dans la chambre le roi ouvrit un œil soupçonneux et tapota délicatement sa voisine de pieu : « mary, dormez-vous ? ….. ron …. ron … - mary, dors-tu ? » ….. ron …. ron … « quoi quoi quoi… allo, qui est là ? - c’est le roi.
Les retrouvailles de ti-grognon jamais de mémoire de cochon la seule chose qui chez lui ne se consomme pas, les as du découpage n’ayant jamais su la localiser - on n’avait vu une de leurs femelles en tel état de pâmoison devant une tranche de mortadelle oubliant délibérément son poids, soulevée de terre par l’émotion en cette rencont
La méprise. « entre nous, dis-moi franchement pourquoi, alors que tu le pouvais, ne le fis-tu pas. tu en avais les moyens sincèrement, tu pus ! - alors là ! toi et ta légendaire délicatesse (soupir) je n’ignore pas que tu as le nez sensible aux odeurs mais tu m’étonnes, parce que j’ai pris un bain ce matin et frotté avec soin dans tou