Cette plante m'a été offerte, ou plutôt lancée (à l'époque je grenouillais pas mal dans le milieu du baseball) par un colporteur qui, devant prendre la fuite après des opérations douteuses dans mon quartier, ne savait qu'en faire. le malheureux (il a fini dans la mare, dévoré par des canards qui ne plaisantaient pas avec les opérations d
Jacotte
Jacotte
La suite du blog http://ataie.over-blog.com/ : lectures de livres, de regards, d'ourlets de pantalons, de lignes des pieds, de Marc de Bourgogne, d'entrailles de thon en boîte. Avec les yeux et les oreilles.
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Jacotte et les tulipes
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Jacotte
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Articles à découvrir
Il y a un gâteau dans le frigo, que je suis priée de ne pas remarquer. donc on ne dîne pas dehors. mais l'homme ne cuisine pas, il propose un apéro, tranquille. peut-être qu'on dîne dehors, dans un endroit où il n'y a pas de dessert. ou pas de bons desserts. on sonne. c'est peut-être le dîner. l'homme revient avec un bon copain et une bout
« l’école nous apprend à accepter d’être dominés » (jean-jacques lebel, télérama n° 3667 du 22 avril 2020). peut-être. je me dis souvent qu’elle s’attache à former des consommateurs plus que des citoyens. c’est sans doute un peu facile, et ça fait fi du libre arbitre de nombre d’enseignants dont le projet personnel est toujo
Il y a un gateau dans le frigo, que je suis priée de ne pas remarquer. donc on ne dine pas dehors. mais l'homme ne cuisine pas, il propose un apéro, tranquille. peut-être qu'on dine dehors, dans un endroit où il n'y a pas de dessert. ou pas de bons desserts. on sonne. c'est peut-être le diner. l'homme revient avec un bon copain et une bouteill
Elles répondent à votre sourire avec réticence, en s'asseyant à deux places de la vôtre. elles déclarent assez fort que l'essentiel, c'est qu'ils soient vendus, et qu'elles ont envoyé un chèque. elles parlent des trois millions d'exemplaires de charlie tirés spécialement après l'attentat. et puis de beaucoup d'autres choses. avant le spe
Je viens de voir, dans un grand angle plein à craquer de classes de cp et de secondes, de mères avec leurs filles, de pères avec leurs fils et de pas mal de copines, cinq hommes danser et faire les clowns avec des livres. leur rendre un hommage tendre, enfantin, joueur. c'était un enchantement que ces figures acrobatiques dites de rue dans une
C'est un petit miracle. j'ai récupéré les accès au premier blog, l'historique, le précieux, le fondateur. j'y ai donc transféré fissa les quelques articles que j'avais publiés sur celui-ci, qui va disparaître prochainement. je le remercie tout de même de son soutien. on se retrouve là-bas ? le dernier arrivé paie... hé, attendez-moi !!
@ zo razafindramamba
- alors, qu’est-ce qu’il fait ? - il lève la main. - laquelle ? - la gauche. - merde. et la droite ? - je ne vois pas bien. il tient quelque chose. - quel genre ? - genre gobelet. - remerde. combien d’oiseaux ? - de sept à dix, compte tenu du mouvement qui brouille l’observation. - ils bougent tous ? - tous sauf un. -
L'iris noir me lorgne de son regard mauvais. il n'était pas là l'an dernier, je ne comprends pas. le saumon non plus, d'ailleurs. j'ai l'impression que les iris s'invitent à leur guise dans ce jardin, génération spontanée ou transmutation du rhizome ? louche, très louche. je fais semblant de rien, sur mes gardes. l'iris est imprévisible, le
© akiko stehrenberger (auteure de l'affiche américaine)
elle est assise, seule, dans une loge de théâtre. quand s’élèvent, puissantes, implacables, les notes de l’été , on ne sait pas ce qu’elle pense mais on la voit penser. l ’histoire qui déferle dans sa tête en dessine une chez nous, qui secoue follement n os neurones miroirs