Les imagine dragons indiquent un chemin qui va à l'opposé de ma route, mais je me laisse guider, messagers de ma destinée et je suis la route pavée de bonnes intentionsle ciel a viré au noir, les corbeaux croassent dans les airs, vol de mort semblent-ils indiqué, sans aucun espoir de retour, aller simple compostéles colts sont de sortie, arm

Elle rit, elle sourit, elle a laissé ses larmes au champ du déshonneur, oublieuse par nécessité.pris en flagrant délire de mensonges, l'infidèle au sourire d'ange, s'est révélé être le reflet négatif de ses rêves de jeunes filles.bercée par ses illusions aux allures d'images d'epinal, le dessin ne passe pas à la machine et délave ses

Les rues de philadelphie étirent leurs longues lignes droites sur la côte est au wasp intégré, guitare sur l'épaule, le boss affiche ses soixante-sept automnes, démarche nonchalante la pennsylvanie s'endort doucement, tous les boy's nés aux usa boivent leurs bières dans les bars du comté, zieutant sur le match de nfl des eagles, franchise

J'ai rêvé toute la nuit, non pas à une hôtesse de l'air, ni d'avoir les fesses en l'airnon, j'ai rêvé à un oncle d’amérique, un hobbit prodigue aux poches remplies de pesosrevenu des pays des lutins et des elfes, baroudeur buriné couleur des plaines du far-westune catharsis au réveil du renouveau, sous son grand chapeau noir, aux bords

La nuit à emporter ses rêves et ses envies dans un maelström tourbillonnant qui l'emmène vers un ailleurs songeursonges éveillés de pensées endormies à peine dérangés par la mesure du temps qui passe, inexorablela belle assoupie, dévoile enfin les couleurs de ses désirs à la pudeur timide et au réel simplifiénotion mathématique hors

Assis à la véranda de son jardin, il regarde la neige tomber, flocons qui s'amoncellent sur la rampe rouilléeson téléphone inutile près de lui, ils viennent de lui couper sa ligne, il n'est plus joignable, pas d'abonné au numéro demandéil sourit au ciel frileux, il s'en fout, plus de fil à la patte, plus d'appels de pénibles, les créanc

Qui es-tu ? m’a demandé l’oiseau de toutes les couleurs en s’envolant dans le ciel aux épais nuages qui suis-je ? lui-ai-je répondu en écho, alors qu’il était déjà bien haut dans le ciel nuageux l’oiseau aux couleurs exotiques n’a jamais écouté ma réponse, il s’est perdu dans les nuages de l’oubli il ne saura pas que je me

C'est comme un après-midi à faire une sieste, une halte conso dans un lit à la couette défaite et aux draps au parfum de lavandele tic-tac de la grande horloge, qui résonne dans la salle à manger aux murs de pierre, ne cesse de rythmer langoureusement les secondes éconduites par un temps trop presséon fait et refait la carte du tendre, méc

Il écoutait mozart, concerto n° 21, la maison était silencieuse, juste la bande son de wolfgangil écrivait des mots, des phrases sur un grand bloc de papier blanc, sans aucune suite logiqueparoles d'une musique qui s'accorde à toutes les langues, à tous les univers, tous les modesmozart est universel clamait-il souvent et se conjugue à toute

C'est la rentrée littéraire, mimi le poivrot est hors-concours, il cuve son litronvaloche s'en est mis plein les poches, merci pour tout crie-t-elle dans le matin pluvieuxvirginie despentes ne baise plus, elle décrit les volutes bleutées des belles opiacéesmais à part quelques libraires et les rayons de la fnac, tout le monde s'en foutzemmour