Aujourd'hui, nous ne sommes plus une nation, ou une patrie, mais un monde. il y a des hommes si bons qui aiment sans compter, obstinément, et qui aujourd'hui se terrent dans le noir. il y a des hommes courageux qui communément hurlent leur colère et leur rage, mais qui aujourd'hui restent silencieux et pleurent. comme tant et tant de monde, mes
Ducarouge Lenaïc
Ducarouge Lenaïc
Certains me connaissent pour avoir eu un blog il y a quelques années, sur skyblog. En conséquent, plusieurs articles connus par eux seuls seront présents ici. Pour ceux qui ne me connaissent pas, j'écris depuis longtemps des histoires et j'espère être publié, un jour !
Ses blogs
La Voie des âmes
L'histoire, l'offre d'un conte merveilleux. L'offre de l'imaginaire, où nous nous confondons tous. Un peu d'espoir, un peu d'amour, et puis finalement, ma vision transformée par la vôtre, utilisée avec toute la force de votre esprit.
Ducarouge Lenaïc
Articles :
81
Depuis :
16/11/2012
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Je n'ai vu du monde que ce que mes yeux m'ont permis de voir... qu'est-ce que nous avons appris à l'école ? qu'est-ce que l'histoire a pu offrir comme leçon ? quelle raison allons-nous trouver ? comment allons-nous nous cacher ? quel subterfuge allons-nous inventer pour nous relever ? on se brise à trop vivre de ces espoirs et de ces folies, on
Je me sens bien. je m'en veux ; le monde s'écroule et la guerre écrase la vie mais je me sens bien. que faire ? où aller ? et résonne le chant de la vie. et je souris. qu'on me pardonne puisque je me sens si bien.
Je ferme les yeux et je plonge loin, en moi. oh, l'odeur qui m'attire est toute salutaire, c'est celle rance de la maison solitaire, et de l'homme qui m'attendait mois après mois. seule ancre à ma vie sur cet océan d'enfer, il est parti ainsi que d'autres vieux amis, voguer vers l'infini, oh ! et ce paradis ! lieu mystique auquel il croyait dur
Tous les événements ont des conséquences. il y a quelques mois, une liberté a été bafouée par colère. l'humour a été brisé, l'ironie sacrifiée, et la peur a commencé à balayer de plus en plus de certitudes. l'angoisse a traversé le monde comme une déferlante atroce. pire que ces avalanches qui ne font que réveiller les animaux perd
Il faut continuer sur le chemin. simplement. et un jour, quand il sera venu le temps de dire adieu et de passer les portes, alors je ne serai pas un poids mais des fleurs de pensée. je me propagerai, à ma manière, et les germes d'un espoir fabuleux naîtront. et s'il y a un dieu qu'il faille convaincre, le sort en est jeté pour moi. et s'il n'y
Hier, je dormais encore ; le vent soufflait fort, ton peuple aussi dormait ; qu'en est-il désormais ? c'était une nuit violente... tant d'efforts ! une nuit qui me hante, une qui me charmait. il fallait te voir, dans ces atours si charmant, dans lesquels je veux te revoir ; le voudrais-tu ? et ceux pour lesquels j'aurais été ton amant, le seul
Combien il est difficile d'être ici. combien il est difficile d'avancer. je le vois, dans le miroir, tous les matins. je ne suis différent de personne et il arrive que je m'imagine, là-bas, loin de toutes mes idées, incapable de savoir pourquoi je tiens à me battre. pourquoi tant d'incompréhension, pourquoi tant de vengeance ? pourquoi le gra
On en dit, des choses, on en prononce, des mots. on pleure, souvent, en voyant ce qui se déroule. je suis triste depuis longtemps, harassé par les actions d'untel, écrasé par les pensées d'un autre. j'ai peut-être trop espéré, trop cru en l'humain, trop mis en avant les lumières trop anciennes et vétustes, fragilisées par le temps et par
C'était inévitable, le temps a passé. je me suis éveillé sans même me rendre compte du changement opéré. je me suis éveillé avec le sourire aux lèvres, les yeux brillants de joie, sans même me rendre compte du trouble et de l'inquiétude présents tous les deux dans mon cœur. j'ai les yeux rivés sur des choses passées sans même les