D’abord un fermier, puis ensuite un tracteur et enfin une remorque aménagée sommairement mais suffisamment sécurisée pour interdire toute chute y compris, et surtout, d’un enfant. tel est le point de départ d’une remarquable ballade depuis ingolfshofdi endroit isolé, s’il en est, au milieu de terres spongieuses d’où émergent quelq
Frédéric MINIOU
F
Frédéric MINIOU
Ses blogs
New-York, Islande : chroniques voyageuses
Bons plans, coups de coeur, plaisirs et impressions de. Des mots, des photos
Frédéric MINIOU
Articles :
42
Depuis :
01/11/2012
Categorie :
Tourisme, Lieux et Événements
Articles à découvrir
Bas, laines, nous habillent, nous réchauffent et c’est assez à notre bonheur en hiver. mais, pour les baleines, je dirais que c’est assez de se faire déshabiller, dépouiller, mettre à nu. assez. le jour (petit rappel, en été il est perpétuel en islande) est ensoleillé et lumineux. sur les affiches, les baleines prennent la pause, sembl
Une lagune qui par deux fois a accueilli james bond et une autre batman, une lagune comme un trait d’union entre un glacier aussi monumental que millénaire et un océan dont les vagues chargées d’angéliques écumes blanches s’écrasent sur un sable noir du diable, une lagune chargée d’icebergs comme l’est un verre chargé de glaçons
Je connaissais les débits de boissons qui dans certaines régions pullulent, le débit de liquidités sur mon compte bancaire où l’on sent que le banquier il t’e…, jouer et perdre quand ton adversaire a des dés bibés (quand tu t’enrhume) et le débit à dudule (que l'on chante certains jours où le débit de boissons est trop éléevé)
L’islande est un désert humide, un désert coloré, un désert revigorant voire salutaire. homme pressé, militant quotidien de l'inhumanité, toi très riche, toi qui sait faire des affaires, toi qui vient de france, ici, tu peux oublier ton wifi, ton internet, ton portable, ton stress et tes soucis. ici, tu pénètres la solitude, l’immensit
Imagineriez-vous une eau d’un bleu turquoise qui s’étende sur l’équivalent de deux terrains de football ? imagineriez-vous une eau chaude, d’un bleu arctique, trahie par ses fumeroles ? imagineriez-vous une eau étrange par son odeur mais apaisante par le bien être dont elle vous enveloppe ? imagineriez-vous une eau opaque qui interdit l
Voici un des seuls mots islandais que nous connaissions tous. c’est même un nom propre et on peut même affirmer que c’est du nom propre qu’est né le nom commun. geyser. bien entendu tout le monde sait de quoi il en retourne. a l’ère de l’internet, nous avons dans la tête quelques images qui trainent. mais entendre loubin, du haut de
Celles qui se méritent, episode 2 : svartifoss, la cascade bof (bande originale de film)
Toute peine mérite salaire, tout ça à l’air (!!!) bien mais tout salaire implique patron, tout patron sert pour la couture, la couture c’est charlélie et charlélie couture incarne un peu la musique. une démonstration capilo-tractée juste pour introduire cette cascade musicale avec soit des orques de sauron soit des orgues et nous le saur
Des doux, des vigilants, des facétieux
tout au long du voyage en tracteur, quand l’œil n’est pas rivé à l’appareil photo, il voit, au loin notre destination. un tas de sable, un roc, une péninsule ? une masse noire échevelée de verdure rase, un oasis sombre perdu aux confins d’une plage ébène, un bout de terre qui touche les nuages
Pour finir cet inventaire de cascades islandaises, après que vos oreilles aient été abreuvées de leurs flots tumultueux, voici une ultime chronique aqueuse avec une touche de couleur prégnante. la cascade de barnafoss vous impressionnera moins par son gigantisme, par sa hauteur de chute, par son cadre verdoyant que par la couleur de ses eaux.