Table des matières l'amour la vie pour toi mon cœur un monde glacé si un jour les « dits » rien que de la tendresse imagine il y a des fois le temps pour aimer je te propose je ne sais que dire la nuit bohème peu m'importe en rêve solitude la question au-dessus le cygne l'espace la peur souvenir un oiseau malicieux un repère par poème une
Yoann GORVAN
Yoann GORVAN
recueil débuté en 2005, et poursuivit sporadiquement en fonction de l'inspiration
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cahier de poésie
Ce blog est la représentation informatique de mon cahier de poésie, reprenant principalement des textes romantique, et quelque textes traitant de la mort. Tout ces textes sont de moi, et si certain peuvent ressembler à certain textes que vous avez déjà lu, je suis désolé mais sachez que c'est totalement fortuit.
Yoann GORVAN
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30/04/2016
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Comme une envie de te prendre dans mes brasde laisser glisser tes cheveux entre mes doigtscaresser du bout de mes doigts ta peau de satinavoir le plaisir de te voir endormie le matin comme une envie de t'embrassercomme une envie de t'enlacercomme une envie de t'accorder une dansecomme une envie de savoir ce que tu penses comme une envie de redécou
Quelque soit mon style, on aime compter mes pieds.qu'importe le temps je ne cesse d'en varier.dans une certaine forme plus connue.chacun de mes style est reconnu. qu'importe le temps je reste sans âge.je suis à l'origine de nombreux adages.même si ma vie est éphémère.toujours un sentiment elle vous confert. j'ai abandonné les armes pour mani
Un hiver sans neige ou un été sans soleilun roi sans royaume ou un royaume sans reineles jours passent mais reste pareilsa la monotonie s’ajoute la peine une forêt vide ou un arbre sans feuillesun cerveau sans pensées, ou un corps sans cœurla vie continue et fait son deuild’une absence à la sombre couleur entre mes mains ou entre mes bras
Bête des enfers aux multiples visage gardien des terres enflammées du dieu hadès monstruosité protégeant le passage aboyant, mordant, sans que cela ne cesse de l'ignominie collective tu te repaîts des âmes tourmentées enfermées à jamais descendues, envoyées sur ton territoire douceur et bonheur, ne sont plus que désespoir divinité dém
Les flots enivrés de ma plume acéréeparcourant les océans de chaque cahier emiettant , déchirant leurs pages abiméesles tachant d’encre et d’une seule pensée bleu, l’encre coule sur la pointe aiguiséemaniée et manipulée par des penséescomme l’océan, bouillonne et se passionnetel l’ouragan qui veut qu’on lui pardonne le tranc
Si je te demandais le temps d’une seconde irais-tu avec moi jusqu’au bout du monde juste le temps d’une seconde visiter et observer emprunter le sentier qui jadis nous fût donné tant de choses à voir en si peu de temps et si peu de temps pour chaque chose décidons alors de prendre l’instant émanant de chaque prose moment de vers et de
Soufflant sur les pleines étendue de l'hiver irradiant tout les nuages de leurs splendeurs teintés d'un blanc nacré et tombants en douceur unissant ses brins, nous recouvrant de blancheur somptueux manteau de flocon couleur ivoire amas de glace et de cristaux aléatoires volants et virevoltants au gré des quatre vents arranguant les différents
Les larmes de mon corps sont des larmes de sangversées par mon cœur, bercées par mes sentimentsqui par de la plume maniée par ma mainglisse telle l’écume, formant ce refrain de cette date que je ne peux oubliéeun flot de larmes à commencer à coulerinondant cahier, et de nombreuses pagesdessinant en séchant ces belles images si de certain