Les dames de la forêt retournent aux éléments...
Pascal Dufrénoy
Pascal Dufrénoy
Poussière sur les chaussures et pas envie de m'arrêter...
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15/05/2009
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Dans les ports où les gens dorment il y a souvent des filles seules jacassant aux balcons éclairés : ce sont des fées-tendresse… on cause ici, parfois on s’aime, on donne des nouvelles, on aimerait rester. des princesses de théâtres ont le temps d’écouter sous la lampe japonaise fabriquée à marseille. et l’on boit, beaucoup, fort e
Où il est dit que malgré leur plumage, les hommes ne sont pas des phénix... on retourne souvent vers ces racines. nous sommes des prométhées modernes, nous n'avons pourtant droit qu'à un nombre limité de résurrections... c'est ce que vous apprend la cinquantaine. le phénix est éternel, il a le choix entre faire un nombre incalculable d'er
Un léger effluve plane entre les branches qui s’agitent. la ville est assoupie et les murs chaulés rayonnent dans la pénombre bienfaisante. c’est l’été qui s’invite ou quelque oiseau de nuit qui fait frémir tes rêves. le théâtre éthéré du peuple nocturne – l’autre côté des choses – tes fantasmes en cascade et les absents
La pensée unique en ayant assez d’être en dehors de la bonté un soir a brisé ses entraves elle avait faim d’humanité avec ses livres prédigérées, avec ses jeux télévisés qui se lovaient au fond des yeux on la vit s’habiller de rêves elle se paraît de mots nouveaux. quand on est futile tout paraît facile au cœur des cités c’e
Il était curieux ce champignon, un savage mushroom aurait déclaré petit blaireau... mais dans le doute, ne t'abstiens pas... va de l'avant dirais-je... un petit tour dans le panier à surprises, c'est toujours ça de gagné. ce minuscule fragment de mère nature constituait comme l'écrivait franck herbert "le monde mystique des similitudes ou c
Fraîches ondées du matin, vitres ruisselantes. le front posé sur la surface… peaux de verre sur jardin d’émeraude. le vernis des embruns luit sur tes yeux paisibles… le merle, le vagabond céleste se cache solitaire sous le laurier fardé… j’observe, silencieux l’averse cristalline. sept heures sont posées au fronton de la mairie
Des mômes courent au bord de la rivière cavalant vers un lendemain où il n'existe pas d'alternatives des nuées orageuses s'accrochent à la colline une odeur de grillades dans une baraque au bord de l'autoroute salut à toi, pèlerin fourbu les touristes s'enflamment dans leurs périples programmés pas de répit, pas de rencontres, pas d'escal
Le carnaval n'est qu'en février, l'attente est longue...
Les papillons blancs d'haubourdin de sortie pour « les fenêtres qui parlent »
Hier après-midi, les personnes hébergées au foyer « les cattelaines » de haubourdin ont participé à l'anniversaire des dix ans de l'opération « les fenêtres qui parlent ». sous direction de dorothée baert-dernis, la bande a défilé, en musique, dans les rues de lille et les couloirs du métro. nous les y avons suivis. dorothée baert-d