Mystaire nous sommes assis sur le bord de notre respiration, sur cet équilibre fragile qui fait de nous des rêveurs, des mangeurs de vent, des voyageurs de l’absence, défait dans notre façon d’être exact. le sang tape… tape à perdre haleine … haleine un mot qui ne dérange plus personne en ce moment, mais un mot qui s’arrête sur la
François Créton
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j'écris à me faire fou;
pour les camarades, pour les cendres, et je lis l'autre dans chacune de vos phrases
François Créton
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Depuis :
02/02/2009
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Un citoyen d’ici-bas ; un ange qui a choisi l’enfer de la terre avec ses troquets,ses mobylettes et ses grosses bécanes. ses tremblements, sa fièvre, sa fureur, ses rêves de "grandeur…et… décadence". ses déchirures et ses retours. et le silence des rosiers au mois de janvier. le jour où je partirais je laisserais le paradis à ceux qu
Je me brûlerai les ailes sur le souvenir de ta peau noyé, épuisé, tremblant, enraciné vers demain les lêvres craquées sur le sel qui gerce tes mains et je cherche la phrase derierre laquelle je pourrai me cacher une phrase pour m’appuyer pour oublier le blond de tes yeux je me brûlerai les ailes sur le souvenir de ta peau noyé, épuisé,
Yerk yer !!!
Je pleu sur ta nuit et je reste... hagard. je pleu… sur le ventre du monde et j’emprisonne le jour du manque de nos baisers. je cherche la feuille … la feuille de l’arbre bien sur, elle s’appelle succomber. nous sommes sa racine la sève de ses maux. je pleu sur le peu de nos nuits et j’appelle… je t’écoute et dans le brouhaha de l
J’avais envie de m’en mettre pleins la gueule rien que du bon quelque chose qui me rendrait… j’ai peur du fracas d’un galet sur une mer de feuilles mortes, j’ai peur du roulis glacé sur la peau de la nuit, j’ai peur que mes doigts se confondent se raccourcissent. j’ai peur de la cruauté qui brise les lignes, j’ai peur de cette m
Alguien me ha dicho en secreto quelqu’un m’a dit en secret que la primavera vuelve . que le printemps revenait la primavera vuelve, pero tú no vuelves . le printemps revient, mais toi, tu ne reviens pas tú no sabrás escribir mi nombre tu ne sauras pas écrire mon nom en los vídrios cubiertos de escarcha sur les vitres couvertes de givre y y
Ils ne s'arrêteront donc jamais, l'un pleure...l'autre... pleure .
Si tant que dure l’amour j’ai eu noir j’ai eu froid tellement souvent tellement longtemps si tant que femme s’en va il fait encore encore plus noir encore plus froid tellement toujours toujours tellement. g.m le portail des blogs overblog