Les beach boys est un groupe qui a survécu, et ce malgré les difficultés liées aux perturbations psychiques du leader. l'année 1971 marque un tournant dans leur carrière: profondément blessé et déçu par l'échec commercial et critique de pet sounds, ce qui devait être leur pièce maitresse, et des sessions avortées de smile (sa suite di

Je le reconnais, « orgueil et préjugés », ce n’est pas ma tasse de thé : pour avoir abandonné la lecture du plus célèbre roman de jane austen, puis essayé de m’y remettre avant de finalement planquer le bouquin au fin fond de ma bibliothèque en jurant qu’on ne m’y prendra plus, ce classique de la littérature anglaise m’a toujou

Dans l’univers merveilleux et délicieusement calorique du pays du big mac, la nourriture grasse à souhait est reine… et ce, jusque dans la chambre à coucher. tout droit venu du texas, le hamburger bed n’est ni plus ni moins que la version mac do de nos bons vieux plumards rectangulaires. ça tombe bien, je mourrais justement d’envie de s

Lorsque sont associés la soul, le garage, le funk et le rock, cela ne peut donner qu'une bouillie informe et indigeste. a moins qu'il y ait ce petit quelque chose qui fasse que la mixture soit écoutable. il a fallu pour cela attendre 2009 qu'un groupe de courageux ose ce pari. j'ai donc l'honneur de vous présenter "tell 'em what your name is!",

L'originalité n'est pas forcément un bien, surtout lorsqu'on ne sait pas intelligemment l'utiliser. tout peut très rapidement sombrer dans un profond ridicule. "the boy who know too much" en est l'exemple le plus frappant. mika reste dans cette optique depuis la parution de son horrible premier album "life in cartoon motion" en 2007. une questio

Et donc, j’ai fini par regarder « la solitude des nombres premiers ». réalisé par saverio costanzo et finalement produit en 2010, le film est une adaptation du roman du même nom de paolo giordano. on a donc affaire à deux personnages principaux, alice et mattia qui, disons-le clairement, n’ont pas été épargnés par le petit jésus. l

Qu'il serait prétentieux de placer cette oeuvre personnelle dans la catégorie littérature! pourtant, hélas c'est ce qui se passe... il y a un gros loup qui sommeille en l'homme. souvent pas celui que l'on pense... lycanthrope à l’heure où couché sur les dunes je vois la pâleur de la lune, j’entends la bête en moi qui gronde, qui fait

Il arrive quelquefois, lorsque l'on est étudiant, d'émettre des doutes quant aux ressentis personnel qui nous amène vers telle ou telle voie : on remet en cause nos impressions d'alors, on se cherche, on jauge nos capacités de mener à bien une entreprise professionnelle choisie à la va-vite, au malgré d'une jeunesse trop innocente et peu exp

Le monde est une larve affamée de feuillages déchirant le printemps de son triste appétit laissant derrière elle une bave d’ennui les arbres englués meurent dans son sillage le monde est un vieillard accablé par son âge son dernier œil pervers observe les petits prophétisant déjà d’horribles maladies il voudrait de sa main broyer leu

L'automne, saison de cuivres moribonds ? ankama semble clamer le contraire. pour égayer cette rentrée, l'éditeur aux productions protéiformes publie un artbook de toute beauté, dont le titre donne d'emblée le ton : colors, ce sont huit années d'illustrations, de crayonnés, de croquis et travaux divers de xa, talentueux chara-designer et dir