Le vrai la liberté la colère appelle une blonde pour me calmer les nerfs évidé niche nid l'oriflamme salut les amis ! je ne vais pas en rester au pire du pire que je démasque. l'assassin à la verse, prêt à l'emploi sans personne, payant pour exister d'une voix tonitruante, l'avare. bref cela déborde mais les mots me viennent à la bouche,
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ARUTPRESENT Poésie brute
Féminisme actif et le souci de nos âmes ânes.
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Joutes de mots, d'un féminisme pathologique à une organisation sociale qui se soucie de nos enfants et de nos âmes.
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26/10/2008
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Lifestyle
Articles à découvrir
L’assassin fontanelle écuelle de potage ou de bouillie d’orge croire l’incroyable adoucit mon propos en le rendant aveugle yeux globuleux blanc, au restaurant de ma conscience proscrite le futur est roi entarté.e occulte, un œil de cyclope, un mégaphone, il est fini la fuite de temps, cône inversé martèle et mène aux pompiers une inci
Transparence * * * cause ou effet, on y revient sans inclination après stupeur et tremblements, indifférence et larmoiements ou les vies ordinaires de l’avare halluciné. poésie. mon amour pour toujours et mes yeux dans les tiens seront le sourire de ces rires que notre jeunesse attire inepte infecte le nuisible n’a de cesse de se récupére
Envahie de plaisir, de désir et de volupté, et pesons bien ces mots, extension. la messe du bagnard, il repart au charbon méduses et poulpe entremêlés au final spectral nulle emprise sur le réel un pas de côté notre démarche nonchalante à l’aune d’une nouvelle vie un pas de côté ma raison, ma santé, de l’argent, de m’ignorer un
Pour nos libertés, de penser et de dire ! il nous faut lutter protégé par copyrightdepot.com
Le baiser - « the ghost » et voilà le travail dix-sept ans concentrez vous concentre toi tout contre moi condensé de stupre dix-sept ans concentre moi moi moi tout contre toi contre mon âme hypertrophiée le roman de la rose *** à bientôt de lire quelques commentaires, clémence
Un caprice j’ai tari mon sillon, aimable mon chéri alors que choisis-tu, me dis-je moi et l’assaut modéré des galaxies
No move aucune jalousie plus aucune exigence, les misérables fous. « sur fond bleu un jour, je serai parasite, roux, exsangue.» sur fond blanc. d ans mon uniforme de marin aux épaulettes d’or, on s’aimait plus simplement. les jours heureux. il n’y ait rien que vous aimez, admirez, que vous aimiez ? le pauvre a trouvé sa raison sous ordon
Plaque tournante à contre-courant le rêve est un rêve et parfois ne se tient jamais homme, encore et toujours prostré glacé ce sont bien les sables du désert. donnez leur l’argent pour qu’ils vous paient ! naïade étoile du nord, rythmique rédemption, que peuvent-ils espérer ? voyage au-dessus des nuages ou brouettes de poussière auta
Diable fèves et nez tronqué sec le chat, la salamandre cassandre casseroles systémiques qui deviennent aléatoires piquent, piquent, au bout du compte une tortue à la nageoire d’acier après le bain des photos-souvenirs suspendues d es mobiles ordonnés étagés agréent un long couloir avant et pour ton confort inespéré je serai - l’entr