Je viens de déménager tous mes articles sur la nouvelle version d'overblog et ça se passe ici: the importance of being a constant reader l'occasion d'avoir un titre un peu plus approprié à mon profil de lecteur, le titre actuel faisant référence à un autre blog principal qui n'existe plus aujourd'hui. si vous suivez mes articles donc, c'est
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Le Vogue à Livres
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01/03/2010
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Certes, lindsay a une recette bien à lui et chaque roman fait appel plus ou moins aux mêmes procédés, ce qui peut donner une impression de répétition à certains. mais si la forme ne change pas, le fond lui change radicalement d'un tome à un autre. et ce cher dexter est à chaque fois confronté à un ennemi encore plus intriguant que le pr
Mile 81 est une courte nouvelle écrite spécialement pour être publiée en e-book. contrairement à ur, le livre électronique n'est pas le sujet principal de l'histoire. ici sai king retourne à un sujet qui semble l'inspirer: la voiture démoniaque. la première chose qui frappe dans cette nouvelle ce sont les références au monde extérieur,
Rien de nouveau sous le soleil de miami. dans ce sixième volet, déjà(!), de la saga littéraire qu'est dexter. jeff lindsay continue de nous faire rire avec son humour noir si particulier mais aussi nous faire frissonner et angoisser pour la peau de notre serial killer (dun-dun-duuuuun) préféré. dexter devenait petit à petit plus humain dans
Stephen king - la clé des vents (the wind through the keyhole)
"a person’s never to old for a stories. man and boy, girl and women, never to old. we live for them." windception a story within the story within the story, voilà ce que nous offre ce nouvel opus de la meilleure saga de tous les univers et de tous les niveaux de la tour. ce chapitre est à situer juste après le quatrième tome, lorsque roland v
Joe hill, un nom à surveiller de très près dès à présent, car il s'est déjà fait un nom dans le monde de la littérature. et bien au delà, car comme son père il semble très prolifique: deux romans, un recueil de nouvelles (ui fait l'objet de ma critique aujourd'hui), une vingtaine de nouvelles et histoires courtes, deux one-shot comics e
"a force de s’éloigner des mots, les théories les plus pures tournent aux racontars. et l’on ne sait plus rien. d’approximation en inexactitude, la vérité se dissout et la place est faite à l’obscurantisme." — adrien danglard | l’armée furieuse (fred vargas)
A l'origine, joe hill fut contacté pour écrire une nouvelle qui apparaitrait dans un recueil en hommage à richard matheson. il contacta alors son père pour lui proposer d'écrire à deux une nouvelle inspirée de celle de matheson intitulée "duel" (qui a également son équivalent cinématographique, filmé par stephen spielberg). king accepta
Avant de parler de la nouvelle elle-même, je vais vous parler de esquire. esquire est un magasine masculin tout droit sorti des etats-unis d'aujourd'hui, mais il pourrait tout à fait venir des années 60, ces années 'mad men' tant l'homme est stéréotypé et tant il y a de publicités à l'intérieur. même les articles rédigés par les journa
"fornit some fornus" jusqu'ici je croyais ne pas trop aimer les histoires courtes de stephen king. les plus récents recueils de nouvelles que j'avais lu ne m'avaient pas enthousiasmé plus que ça (rêves et cauchemars, tout est fatal ou bien juste avant le crépuscule) et mes romans préférés du king font tous plus de 800 pages. facile alors de