Crisser de suie sous la porsche du drogué aux yeux jaunes, ton foie se liquéfie à cause de la juxtaposition des damnés.

Bandit de perles de foules d'amour et convictions bonbons amers qui pétillent la langue. agonisante. tout le monde vit dans son monde. de pensées.

Des craintes de pluie ont succombées à leur richesse d'argent corrompu. brisés, ils se sont imprimés d'un monde meilleur.

Se tordre de moisissures au grand vent des chevaux claustrophobes

Une prière en tête comme un péché quotidien l'arrogance du christ déformé de milliers d'années vices cachés le chant des églises sans promesse personne pour entendre jouer piété creusée de spasmes annihiler la laideur orgueilleuse et les hommes seront bien gardés l'humain réel enclumé de ses pas masque de foi grasse argent répudié

La grandeur des oies blanches te pousse au rameau du vol de coeurs chauds la bergerie emplie de réglisses

Les chapeaux dorment auprès de lards fumants

Danser sous un regard de soie et puis pouvoir voir ce qu'il se doit. bal masqué, les gens y sont nus.

Friperie. choses usagées, vieilles babioles en vente. des gens de tous genres, mais surtout des longs mentons, des visages qui tombent. deux jeunes filles, jeans et manteau shiny. coiffures hautes, style adolescent. maquillées, elles existent et parlent fort. ''on est trop fresh pour être ici!'' rires, elles sortent du magasin. une dame occupée

Oh mon amour on pourrait créer autant d'humains que de neige, en altitude du monde des couleurs fausses créer le vrai sans l'imagination ces choses que l'on tait mais qui se lisent