Une vieille blague de chercheur, ré-écrite à la manière de "bref": bref, j'avais besoin de 15 k€ pour financer mes recherches. je suis allé voir mon directeur de labo et je lui ai dit : « j'ai besoin de 15 k€ » il m'a dit : « t'as besoin de 15 k€ ? » j'ai répondu : « j'ai besoin de 15 k€ » il m'a dit : « je les ai pas. on va de
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Économie, Finance & Droit
Articles à découvrir
Depuis l'arrivée du nouveau gouvernement, ça bouge dans le monde l'esr (enseignement supérieur et recherche). ayant capitalisé dans les urnes le mécontentement du petit monde de l'esr, le gourvernement de j-m ayrault lance un grande concertation en régions pour l'avenir de l'esr. cette concertation, ce sont les assises de l'enseignement supé
Bon ça y est, j'ai obtenu du fric pour financer mes recherches. bah, pas de quoi révolutionner la science, mais d'expédier les affaires courantes et les publis en cours. j'ai obtenu 8k€ sur un appel d'offre de l'université. je sais, ça peut faire rire, mais ça me suffit pour faire avancer mes recherches. n'ayant pas besoin d'un machin ou d'
Décor: lundi 13h30, devant l'algéco 6. lumière: lumière du jour. personnages: le héros, une enseignante, un groupe d'un vingtaine d'étudiant. eh oui, dans l'université du 21ème siècle, on enseigne dans des algécos: sûrement une traduction du caractère jetable de la connaissance, de l'urgence de l'époque ou du caractère éphémère de
Pour prolonger mon article sur les pratiques des éditeurs académiques: la communauté scientifique se mobilise et appelle au boycott de l'activité éditoriale à l'encontre d'elsevier, via une petition intitulée "the cost of knowledge". cette initiative a été relevée par le guardian: "scientists sign petition to boycott academic publisher el
Les 10 commandements de la publication (y'en a un peu plus, je vous le met quand même?)
Rechercher, c'est publier. et publier peut s'avérer frustrant. on a beau dire, on a beau faire, quand on a fini un article, on en est fier. c'est normal, vu la masse de travail pour arriver à l'article prêt à être soumis. et puis si on ne croit pas un minimum à ce que l'on fait, ça sert à quoi de le faire? quelques considérations concrète
Mon université, au top des techniques de communication, organise depuis quelques années des journées portes ouvertes afin de réconcilier les djeun's avec la science. comme bien souvent, partant d'une bonne intention, ma chère université à tout de même réussi à se tirer une balle dans le pied. comment est-ce possible ? en avant le désastr
Suite des infos concernant les éditeurs académiques et les publications scientifiques: après les lois sopa et pipa, le congrès américain examine le "research works act" qui cherche à limiter les publications en open access. http://blog.mysciencework.com/2012/01/20/le-research-works-act-une-menace-pour-lopen-access.html
Suite à mon post sur les éditeurs scientifiques, vous pouvez consulter sur youtube les intervention d'un colloque sur le sujet qui s'est tenu à toulouse: http://www.youtube.com/doccitanist
Un collègue a une vision assez semblable à la mienne de l'université française: http://marcsympaencolere.blogspot.fr/2012/11/une-matinee-ordinaire-dans-une-fac.html