Tous les matins il vient me voir absorber mes ténèbres ébranlées dissiper la lune et les étoiles et mater mes éternelles fatigues alors le soleil peut se rallumer ensuite seulement je jette un peu de paroles et tout devient possible prêt aux plus audacieuses folies en ces jours diablement longs le café du matin ma lumière et mon feu
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Articles à découvrir
A mi, quand vas-tu arrêter ton esclavage ? bientôt compagnon. bientôt. eh oui, j’ai vieilli. il fallait bien que cela m’arrive aussi [i] … oui, bientôt. au compte-goutte. mais j’entends déjà l’appel bientôt explorer le silence [ii] , inventer ò una strada che sia giusta per me, et je vois déjà les limites de mes désirs… ce qu
Encore m’attarder à ce parfum dispersé au milieu des nuées débauche nourrie nul souci sur l’oreiller shopping masturbatoire des tempes argentées les figuiers grelottent dans la plaine déserte et désolée battue par le vent efforts et tourments en quantité il faut clore les grandes portes des précoces vents d’hiver du lamentable ennui
Parfois je me souviens que tu existes oh non, ne baisse pas les bras ne fronce pas le sourcil je suis tant occupée tu m'as habituée à l'effacement peu à peu subrepticement le dégradé à présent moi je le vois dans les mauves cela commence dans ce profond intense des champs de lavandes sous le soleil et le vent sans pitié les fleurs sont odo
Jours gris, vides privés de sens à devenir un humilié à crever à petit feu broyé rejeté comme un outil devenu inutilisable sans travail et sans joie epave humaine que me vaut cet ostracisme ? j'ai un mal de chien à me persuader que tout n'est pas vrai maudite fin de règne monstre à visage humain quel ego assassin ! bore bore bore out ! bo
Écoutez les vers du fou n’entrons pas dans les détails devant le piano noir elle m’est apparue fraîche comme l’eau terrifiante de beauté orgueilleuse et fière avec ses nombreux talents et ses hauts talons écharde nonchalante dissimulant sa cruauté tel le serpent sous la roche dans la fraîcheur de la nuit du piano noir une note a jaill
Murmure impérieux avis de recherche annonce sérieuse ! homme sérieux, profond et cultivé, oiseau égaré, poétaillon, cherche, pour lui permettre de bien terminer sa vie, de couler ses derniers jours tranquilles dans un environnement douillet et de se consacrer pleinement à la littérature, à l’omniprésence de la poésie, à son péché c
Gavé de la conscience du supplicié, les paupières closes, m’échapper du néant. apaiser les délires dans les silences des nuits. m’abreuver à ce sein tant de fois caressé à la lumière d’une bougie. tel est l’usage dans bien de chaumières. implorer l’âme, ses contours, ses rosées de la belle muette, aux yeux sans feu s’accord
Je suis revenue comme un brouillon mal fait qu'on froisse entre les doigts que poisse le stylet boule de gorge au nouet* larme de feu au revers des revoirs malchanceux étrave sans trace syphon sans épicentre virus sans couronne errance immobile déconfite parfaitement l'âme de fond * pour incuber les oeufs de vers à soie, on utilisait des nouet
La vie est rempli d'anti-héros il en est de grotesques de flasques ou de falots j'aime mieux le fanal près du chenal les jeux d'eau près du lido la tarasque dans les bourrasques les fêtes dans les cafètes les isbas dans la pampa et les métros loin des bouleaux nous ne referons ni les blogs, ni le monde tout part en carafe mais tant qu'il y a