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Tags associés : humeur, poesie

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Le blog de JEANSANTERRE

Ah! l' Inspiration suberbe et souveraine, L'Egérie aux regards lumineux et profonds, . . . . . . . .La Colombe, le Saint-Esprit, le Saint-Délire, Les Troubles Opportuns, les Transports complaisants, Gabriel et son luth, Apollon et sa lyre, Ah ! l'Inspiration, on l'évoque à seize ans ! . . . . . . . . . . . -- Paul VERLAINE -- Moi , j'aurai toujours seize ans ! Jeansanterre
JEANSANTERRE JEANSANTERRE
Articles : 87
Depuis : 03/10/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Mes chers petits, mes enfants, mes amours

Par ce que mon âme n'est aujourd'hui plus au diapason de ce chaud été 2018 , voici ce qui m'a remué ce lundi matin. sur le modèle de la chanson interprétée par serge reggiani. mes chers petits, mes enfants, mes amours dans ce trop long soir, mes enfants mes amours. il pleut dans ma mémoire, mes enfants, mes amours. comme vous lui ressemblez

Le destin

Ce poème est mon commentaire posé sous le poème « devin … devine » de betty harmony ( eklablog betty harmony ). je vous invite à découvrir cette délicate auteure de poésie. le destin ah, combien de comédies faut-il à l'humanité pour qu'enfin elle résilie ce jeu de naïveté. car le destin se construit dans chaque instant minuté de c

Verlaine commenté par léo ferre

Préface de léo ferré pour le livre "poèmes saturniens" de paul verlaine les oiseaux que l'on regarde, à la mer, à l'abri d'une vitre, font des signes désespérés, du moins nous les croyons tels, car la matière qu'il y a entre nous et eux favorise la dissertation et le songe, et nous désirons voir dans leur géométrie alimentaire ou simpl

Ô afrique, que sais-je de toi ?

Ô afrique, que sais-je de toi ? rien du tout et trop à la fois ! rien que le bien peu d’études m’aient appris sur tes solitudes pesantes sous des cieux plombés. trop par tous les cris effarés poussés dans la brise marine, peuple que la mer assassine au seul profit de quelques-uns qui s’engraissent quand tous sont à jeun. je sais une lo

Basses oeuvres

L'encensoir brûlait devant l'âtre du logis où se prélassait une charmeuse dame reconnue pour être la maîtresse infâme de quantité de jouvenceaux et de maris. ce brûle-parfums comblait de sa largesse l’espace opaque de volutes de fumées lourdes de senteurs grasses et fanées dans lesquelles s’enveloppait l’oiseuse maîtresse elle cap

Fête des mères

Titre : mon cher papa poète : stéphane mallarmé (1842-1898) recueil : poèmes de jeunesse .(écrit à l'âge de 12 ans.) j 'avais appris un compliment,et j'accourais pour célébrer ta fête,on y parlait de sentimentde tendre amour, d'ardeur parfaite ; mais j'ai tout oublié,lorsque je suis venu,je t'aime est le seul mot que j'ai bien retenu. de

Ou êtes vous ?

... où êtes vous, mystérieuse dame brune ? je vous imagine entre mari et enfant puis à votre emploi, des uns aux autres courant ! êtes vous encore au grenier de la lune ? ... sûrement, pour des amis choisis, des intimes dont je ne suis plus en votre cercle restreint. baste ! ce qui vous importe le plus est demain, puis le surlendemain, pour m

Vieillesse, infâmie !

Vieillesse, infamie, tu brises mon élan ; souvent, tu me trahis de soudaines faiblesses. mon corps ou mes pensées, subitement s’affaissent et mes efforts ruinés me laissent pantelant. j’eus toujours cet orgueil d’une santé de fer , je n’envisageais pas si pénible existence héritée d’un aïeul pris par cette malchance, a soixante an

Si c'était ça, vivre

Si c'était ça, l' eden de la bible:un verger fleuri sous un ciel azur,un soleil chaud sur la peau sensible,un vent tiède qui brasse un air pur. si c'était ça, le tout premier couple:une femme et un homme dans leur nudité,sans artifice pour cacher leur corps soupleni leur pensée, aucune perversité. mis à l'écart du monde qui s'active,faiso

Mon arbois

Je reviens, oui je reviens ! je t’avais quitté enfant, vieil homme, je te reviens avec une âme d’enfant. sous un de tes vieux toîts j’abriterai mes nouveaux jours pour rêver de l’autrefois où ne comptait que l’amour. l’amour des parents c’est sûr, assurait l’essentiel, mais c’est par tes rues, tes murs que j’entrevis mon c