L’appétit grimpait la table quand maïté dressait la cuisine. la faucheuse est tombée sur le râble ; nous avons l’assiette chagrine.
abonnez-vous http://bit.ly/inalesrecettesvintage la cuisine des mousquetaires | fr3 | 13/06/1989 maïté ordonez et micheline banzet préparent une dodine de volaille au foie gras avec comme accompagnement
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poète narratif, cycliste à l'eau claire, prof doc aussi à ses heures perdues (la cloche de la retraite a sonné).
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Pascaloup de Savoie
Fenêtre ouverte sur le monde, à plus d'un titre : poésie, sport, maîtrise de l'information...
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Il a la barbe comme ragnar ; nous excuserons les ignares. j’aime avancer qu’il se fera fort de donner des coups de latte aux trainards payés à prix d’or.
construit en 1340 par le seigneur goyon de matignon pour se défendre contre les assaillants, le fort la latte sera un des bastions de défense contre les ennemis de saint-malo à l'époqu
Par les temps qui courent, l’insignifiance a la vie dure ; remontons à la présidence pompidou. j’ose croire edmond rostand capable, pour les visiteurs du cdi, de ne pas toucher, à la fin de l’envoi de la modernité, à une anthologie de la poésie française ; comprenne qui voudra.
dites-le avec l'ina, c'est une sélection de phrases culte
Un couloir de l’hôpital michallon débouche étonnamment sur le stade ; nous étions de si braves garçons. un demi-siècle a passé ; patrick, l’arrière droit, devenu ambulancier tirera sa révérence dans deux saisons. il a toujours le regard fin dribbleur ; avec lui et philippe, je me souviens d’une équipe de onze caractères entiers. *
Crédits photo : le dauphiné libéré / lisa marcelja
le gratin de la médecine est servi à l’hôpital michallon. michael schumacher en avait bénéficié, dans une discrétion digne de respect. pour des lustres inconnu, j’ai l’humilité de confier ma vue qui baisse à un professeur émérite ; ce n'est pas du chiqué, l’analyse qu’il f
Le sourire de la charcutière sait bien envelopper ; le boudin blanc aux truffes coûte la peau des fesses. " on peut en faire des ballons ? " - vous parlez du boudin ou des fesses ? " des deux ! c’est un rite." - sortez ou mon mari va vous botter le culte.
regardez le petit rapporteur - badaille de boudin - azaptv sur dailymotion
Hier encore je filais, tel un étudiant de gières, le coton en phase ascendante. le monde a changé ; les portables le signifiant s’éteindront après ma dernière tige fumante.
Il y a six ans, dans le col du chat, je communiais sous la salsa du démon. loin de me descendre en âme, mon père m’avait jeté un signe du ciel.
regardez coluche, grand orchestre du splendid - la salsa du demon - le-coluche sur dailymotion
Un homme ramène à la maison le sapin de noël ; chloé et caïssa sautent de joie, dans la déraison de velours qui mettra les boules à bas.
régine et les galeries lafayette à paris sont rassurées, je n’ai pas mis cet arbre dans le premier train pour chambéry...
Est-ce à l’encre de ton nombril que tu écris ou à l’ancre du monde ? paul watson te remercie d’avoir des baleines sous les yeux. se peut-il que tes morceaux méritent une tournée à meursault ? une flèche de jour avec l’arc de la nuit coupera-t-elle le cordon à compte d’auteur ?
reportage dans une cave de meursault avec deux invité