Qu’êtes-vous devenue vous l’inconnue que j’ai tant connue, vous que j’ai vu nue, vous que j’ai retenu de manière saugrenue lorsque, d’un coup de massue, me tombant dessus, vous me fîtes tomber des nues, m’annonçant votre déconvenue ? qu’êtes-vous devenue, j’ose à peine l’imaginer, – le premier venu, le premier benêt, r
Le Poète Mots Dit...
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Âge: 23 ans
Sexe: volontiers
Statut: étudiant (FLE)
Religion: écologie
Opinion politique: athée
Aime: aimer
Déteste: détester
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Le Poète mots dit...
Poèmes, essais, aphorismes, littérature amatrice en tout genre et pour le plaisir!
Yannick Vrolant
Le Poète Mots Dit...
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Depuis :
10/04/2010
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
D’un regard jeté par la fenêtre, comme le restant d’une assiette trop pleine, un mégot de cigarette, j’observe la vie paraître. je relève la tête et je guette : mes yeux clignent, on/off comme des braguettes. a l’horizon, une ligne longiligne : fidèles au paysage initial, défilent sans raison, et à l’horizontal, des fils dans l
Ces moments de bonheur me font peur. on dirait que le destin est à bout, que cet assassin tient à peine debout mais je sais: tout ceci est un leurre, il reprend son souffle avant son labeur. bientôt le malheur me sautera au cou et la misère épousant mon dégoût me passera la corde au cœur. je ne suis pas triste, je n’ai plus peur ; je sais
Tue-t-on le temps en baisant ou est-ce le temps qui nous baise ? tue-t-on l’amour en le faisant ou ne sont-ce là que foutaises ? a-t-on besoin d’un passe-temps quand il se passe de lui-même ? peut-on se passer pour autant de bon temps, se dire « je t’aime » ? a-t-on besoin d’amour ? a-t-on besoin d’avenir ? a-t-on besoin toujours de v
Inspiré des musiques de serge gainsbourg... tandis que je m’introduis dans la fente vaginale de la belle et jeune éléphante vénale, je l’entends qui vagit et se lamente de manière fort élégante… je trempe ma trompe détrempée entre ses trompes de fallope: tant pis s’il te faudra ramper, fallait pas me chercher, petite salope… puis
Il n'y est, de par la terre entière, je crois, que deux ou trois endroits où je me sente à l'endroit, tel un roi a la place de choix qui lui échoie: ce sont nulle part, ailleurs et hier, -- dieu ne m'a pas laissé le choix et mon âme fière et lasse et sincère sans cesse erre, hélas, hors-frontières... mais j'aime l'irlande, verte et géné
Je poète plus haut que mon cul, histoire de me donner des airs. quand je poète, ça sent le vécu mais au fond ma vie est un désert… je poète pour me donner une contenance ; je sais, c’est bouffon et plutôt gonflé. je poète pour me donner de l’importance ; c’est ronflant, pompeux, enflé. ma prose ne sentant pas la rose, j’ai trouv
Le cul assis dans un vieux pub de dublin ou d’ailleurs, comme attendant des jours meilleurs, un groupe d’anciens, buveurs, rieurs, me souhaite la bienvenue au club. ces vieux cons paresseux sont incroyables de jeunesse, pas un seul d’entre eux qui jamais ne paraisse destiné à rejoindre la grand’messe… tous ont faim de boire, sans fin ni
Retrouvez mes (futurs) écrits à l'adresse suivante: http://yannickvrolant.weebly.com/ ce blog reste ouvert et fera désormais office d' "archives" (2007-2013). a très bientôt!
C’est un phénomène curieux, pour le moins mystique, quelque chose d’amoureux mais en moins pathétique, une sorte de petit coït a l’acoustique mélancolique qui accompagne mes cuites de son rythme mélodique ; c’est rieur et joyeux et magnifique quand les violons s’envolent dans leurs envolées lyriques avec une déconvenue frivole ! c