Dans mon rêve de cette nuit, elle était debout au sommet de la rue, face à une foule indifférente. moi légèrement en retrait. j’ai fait glisser la chemise de ses épaules. la peau de son buste est apparue comme lumineuse. je sentais son plaisir : pas celui d’être belle et de s’exposer nue, mais d’avoir célébré la vie dans son corp
Julien Lem
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Un loup gris partage les émotions, intuitions et désirs au cœur de ses « voyages » d’amitié amoureuse.
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Fils invisibles
Un loup gris partage les émotions, intuitions et désirs au fil de ses « voyages » d'amitié amoureuse.
Julien Lem
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10/08/2005
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Lifestyle
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Yazaki, personnage central de la trilogie monologues sur le plaisir, la lassitude et la mort que vient de m’offrir séverine (ma gauchère préférée) comme lecture de vacances, représente tout ce que je déteste chez un homme : machisme, arrogance, focalisation sur son apparence physique — gonflette et grosses bagnoles — et préférence po
Après le bain, je m’endors aussitôt, nu et chaud. pour me réveiller au milieu de la nuit. quelqu’un s’est glissé sous mes draps. un corps tout aussi nu et chaud que le mien, tout à fait dodu, on ne peut plus féminin, trois mots seulement, chut, ne bouge pas, laisse-moi faire, avant de m’engloutir, mon sexe se déployant aussitôt dans
Lu, dans lady chatterley’s lover, cet échange un peu surréaliste entre les cronies qui fréquentent le couple chatterley (clifford et constance). ils ont tous un peu picolé et en viennent à dire que tout pourrait finir par disparaître, à commencer par les fonctions corporelles : les hommes flotteraient dans l’air comme des nuages de fumé
Ces chose-là arrivent parfois : elle m’a dit que j’avais une grosse bite. enfin, pas exactement en ces termes, mais avec des mots très délicats qui reviennent au même. hannah est en sidération devant mon sexe. entre deux accouplements, elle passe beaucoup de temps à le contempler, le toucher, et goûter jusqu’à la saveur âcre d’un s
Hier soir nous avons fini le repas en partageant une délicieuse poire belle hélène. allez savoir pourquoi : j’avais une furieuse envie de lécher l’assiette !
Il y a un peu plus d’une semaine j’ai croisé marie en sortant d’une réunion. c’était une totale surprise, bien que j’aurais dû me souvenir qu’elle anime une activité chaque samedi dans ce lieu. il y a huit ans maintenant que nous ne nous sommes pas vus. parfois un court message auquel elle répond évasivement, sinon par le mutisme
Interview de françoise simpère par funkypitt
Pour h. : il y a quelque chose de désespérant dans la sexualité. c’est par quoi la sexualité est libératrice, ou peut l’être : elle nous libère de l’espoir et de ses pièges, en nous ouvrant au réel et à l’amour. on n’espère que ce qui n’est pas ; on n’aime que ce qui est. et quoi de plus réel que ce corps que j’enlace ou
Nolwen (la mère de marie) m’en a raconté une bien bonne. son premier mariage, à 20 ans : une grande famille protestante, des dizaines d’invités, tout le gratin de la bougeoisie locale. après la cérémonie ce beau monde se retrouve dans la salle du banquet. elle est assise en face d’un copain artiste. il s’aperçoit qu’elle n’est p