Avec son physique « all american », james garner avait tous les atouts pour devenir un jeune premier traditionnel, mais son sens de l’humour et de l’autodérision l’ont rapidement poussé vers les rôles de couards sympathiques, de « planqués » et de jouisseurs. c'est exactement ce qu'il fit du personnage de « maverick » dans la série
Fred Jay Walk
Fred Jay Walk
Cinéphile, amateur de westerns, de cinéma américain, italien, asiatique, de BD, de séries télé.
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Le blog du West (l'Ouest, le vrai !)
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Fred Jay Walk
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14/06/2009
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Films, TV & Vidéos
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Acteur de théâtre et pilier de l’actors studio où il fut souvent le partenaire de sa femme anne jackson, eli wallach a su tirer le meilleur de l’enseignement de strasberg, grâce à une qualité faisant cruellement défaut à ses contemporains : l’humour. vif, narquois, cabotin, culotté, wallach n’hésite jamais à façonner des personn
Un salut de votre ami fred jay walk, pour remercier les visiteurs de « www » qui continuent à venir chaque semaine très nombreux pour consulter le blog, faire des commentaires, flâner d’une rubrique à l’autre. cela fait maintenant plusieurs années que les news sont publiées sur « le blog du west 2 », mais cela n’a pas empêché « w
« cité de la violence » est une coproduction italo-française montée sur le nom de charles bronson, choisi pour ses récents succès en europe et distribué dans un rôle écrit à l’origine pour un comédien beaucoup plus jeune. le réalisateur sergio sollima, maître du ‘spaghetti western’, envisageait plutôt jon voight ou tony musante
Beau garçon au physique typiquement italien, au charme simple, à la sympathie sans complication, giuliano gemma a débuté dans des petits rôles (« ben-hur », « le guépard »), des péplums (« les titans »), avant de percer dans le western italien, dans un emploi finalement assez rare de héros bon-teint, rasé de près et pétri de bonnes
C'est aujourd'hui le 4ème anniversaire de la création de « www », des changements se sont opérés. avec ses plus de 5000 articles, ses innombrables liens internes et externes, son nombre limité de rubriques, le blog est devenu une « usine à gaz » pas facile à manœuvrer. d’autant qu'il est plein comme un œuf et qu'il arrivera dans quel
Plusieurs choses placent « mort d’un pourri » au-dessus du lot dans la filmo du delon des seventies : le scénario policier sous-tendu d’un discours au vitriol sur les mœurs politiques et un casting d’une incroyable richesse dans lequel l’acteur-producteur s’intègre comme simple protagoniste, sans être le seul et unique centre d’in
Fils de l’acteur fordien victor mclaglen (« le mouchard »), andrew v. mclaglen a consacré une grande partie de sa filmographie au western. ancien assistant à la réalisation, il a appris son métier sur le tas, et s’est imposé à la tv pour sa rapidité et son efficacité. au cinéma, il a frôlé plusieurs fois la franche réussite, sans
Né à naples, sous le nom de carlo pedersoli, il fut champion de natation, avant de délaisser le sport, de prendre quelques kilos (plusieurs, en fait…) et de changer de patronyme, pour devenir bud spencer . après quelques figurations, il s’associe avec le jeune premier terence hill (mario girotti) à partir de « dieu pardonne… moi pas »,
Alors ? passé le choc de la découverte de la demoiselle dans « le filet », qui diable est rossana podestà ? tout ce que l’on peut dire à coup sûr, c'est que c'est une actrice italienne des années 50 et 60, qui tourna une petite cinquantaine de films, essentiellement des coproductions et qui ne fit pas la carrière qu'elle méritait. née