Réédition d'un jeu datant des années 70, junta nous immerge dans le marigot nauséabond des politiques corrompus d'amérique latine. en début de partie, 5 cartes sont distribuées à tous les joueurs. la première étape est d'élire le président. les joueurs, s'ils se présentent, doivent jouer des cartes suffrages et influence pour matérial

Le plateau de jeu se présente sous la forme d'un territoire constitué de plusieurs lieux (8 au total, disposés en cercle), chacun contenant des ressources à la disposition des joueurs. mais ces ressources ne sont pas inépuisables. les joueurs démarrent la partie avec un personnage différent (choisi parmi deux), qui leur apporte des ressource

Le plateau est constitué de tuiles placées aléatoirement, dont le nombre varie en fonction du nombre de joueurs et sera limité. ces tuiles sont de 3 types (forêts, lacs et montagnes), chacune pouvant produire une ressource différente. tour à tour, les joueurs effectuent un tour complet de jeu : marquer 1 pv par village contrôlé. effectuer

15 bâtiments, représentés par des cartes, sont à la disposition des joueurs, qui démarrent avec deux de ces bâtiments, la boulangerie et le champ de blé, ainsi que 4 cartes monuments, pour l'instant face cachée car non construits. le but du jeu est d'être le premier à construire ses 4 monuments. mais ils sont très chers. comment accumule

Au centre du jeu sont posés 4 plateaux, sur lesquels on place les pièces en bois représentant les fruits des 4 couleurs (rouge, jaune, vert, bleu). il y a 4 fruits de chaque couleur. dans un coin de la table, on place le corbeau au début de son parcours, qui aura 5 cases. le but du jeu est de coopérer pour cueillir les fruits avant que le corb

Dans akropolis , les joueurs sont en concurrence pour créer la plus belle cité antique, c'est-à-dire celle qui leur rapportera le plus de points. le jeu présente trois types d'éléments : les tuiles de départ : il y en a une par joueur, et elles sont toutes identiques. les tuiles ordinaires, qui sont des assemblages de trois hexagones de coul

Dragomino revisite le principe des dominos , avec deux différences majeures : chaque joueur construit sa propre structure de tuiles, il n'y a pas de construction commune. les tuiles ont vocation à se toucher par tous les côtés, et non par un seul. c'est donc une surface (et non une ligne brisée) qui va apparaître, dans laquelle un motif commu

Le cœur d' ilôs est la gestion de sa propre main. a chaque tour, chaque joueur a une main de cartes. il n'est pas limité par le nombre d'actions qu'il peut faire, mais par le nombre de cartes constituant sa main. chacune de ces cartes déclenche une action, mais le coût de la carte sera la défausse d'autres cartes de sa main, dont les actions

Une des 16 cartes "voleurs" est choisie au hasard et placée, face cachée évidemment, dans un scanner. on place ensuite les 16 cartes "suspects" autour de la table. les joueurs partent du centre du plateau, sur lequel les indices sont éparpillés. a son tour de jeu, un joueur annonce s'il veut retourner une carte suspect ou s'il veut partir à l

Les 24 tuiles symboles sont réparties, face cachée, entre le nombre de joueurs. les tuiles cou sont ensuite dispersées sur la table, le côté symbole visible. chaque joueur dispose d'un corps et d'une tête de girafe à sa couleur, il va compléter sa girafe en tirant des tuiles cou, qu'il ajoutera à sa girafe. le vainqueur est celui qui a le