Envie de t’aimer, comme une évidence de t’ouvrir mon cœur, vaincu sans défense envie d’oublier les nombreux mirages peuplant mon désert d’autant de naufrages envie de plonger, noyé jusqu’à croire au regard complice, aube d’une histoire envie d’un instant, vivre la promesse d’un désir nouveau, attisé sans cesse envie de touch

Quand la vie s’envole comme un baiser raté et l’envie s’étiole à ne plus exister je ne veux pas mourir ce soir peu importe la douleur et les peurs les doutes qui font chavirer mon cœur je ne veux pas mourir ce soir dans cette vie affamée qui me dévore je ne suis qu’un passager incolore qui ne veut pas mourir ce soir et même si je sui

Ma chère gisèle, c’est moi, gilbert, ton frère, ton cousin, ton meilleur ami, ton amant parfois. c’est moi, gilbert, qui partage ta vie depuis tes douze ans. la guerre nous a séparés tu avais à peine 20 ans mais me revoici aujourd’hui à tes côtés. c’est moi gilbert, ton compagnon imaginaire pour les autres mais bien réel dans tes

26 mai 2009 et toujours pas une ligne publiée sur ce blog... c'est donc sur fond de première semaine à roland garros, sur énième fin d'études annoncée et au lendemain d'un cagnard assommant que je me décide à coucher quelques lignes. après trois ans passés dans le milieu infirmier, à fréquenter les hôpitaux, ses patients et ses soigna

Mon cœur n’est plus qu’épave glacé au bord du lit d’un désir assouvi d’une coulée de lave mon cœur n’est plus qu’hier où ma vie est en pause sans vouloir autre chose qu’un passé de poussières mon cœur n’est plus qu’organe dans un corps qui se meurt quand s’égrènent les heures des pétales qui fanent mon cœur n’est

Mon cœur est un petit navire sur l’océan des sentiments a chaque coup de foudre il chavire sans vraiment couler pour autant mon cœur est un petit voilier sur la mer trop calme du désir manquant de vent pour le pousser depuis trop longtemps il dérive mon cœur est un petit bateau amarré au port solitaire rêvant de voguer sur les flots de l

Voilà, c'est fait. la mise en bière fut le moment le plus pénible, dire adieu à ton visage, ne plus jamais pouvoir te toucher, te sentir. ce sont les derniers sens qui s'envolent. ce fut bon de pouvoir dire au revoir à ton corps qui désormais repose en paix. après tu as eu droit à une vraie messe à la basilique. c'était très beau avec to

Voici un petit conte de fée écrit voilà déjà dix ans... certains l’ont peut-être oublié un peu vite mais il fut un temps plus agréable, pas si éloigné du notre, où les gens n’avaient ni portable (téléphone) à main droite ni portable (micro-ordinateur) à main gauche. c’est en ce temps là que vivait anita, une charmante bergère

Mamie, te voilà partie vers l’autre rive découvrir de nouveaux paysages a l’aube de ce dernier voyage sans toi nos cœurs partent à la dérive mamie, te voilà partie vers l’autre monde découvrir un ultime horizon a l’aube de cette séparation nos cœurs sans joie éclatent et succombent mais mamie tu vivras dans nos rêves et tu brille

Comme une fleur d’été qui va éclore c’est ta naissance qui est annoncée un petit effort un peu d’attente et tu seras née comme une évidence tu es le fruit de tout l’amour qu’on peut donner la descendance de tes parents qui se sont aimés lily oh lily viens lily par ici ! lily hé lily viens ici c’est ta vie ! l’avenir t’appart