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Sybille de Bollardière

Sybille de Bollardière

Auteur Dernier livre paru, Retour à Groningen, La Passagère avril 2022 Le défaut des origines 2005 - Ramsay - Prix Lafayette Une femme d'argile 2011- L'Editeur Les mauvais sentiments 2016 - La Passagère L'amour en zone inondable 2018 - La Passagère Ateliers et stages d'écriture - Edition - Coaching autre site www.lapassagere-edition.com

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Histoire de ma vie

Histoire de ma vie

Pour écrire l’histoire de ma vie, j’avais besoin de retrouver quelques repères. il me manquait des noms de personnes que j’avais pu connaître à une certaine époque de cette vie. c’était ma période bauloise. j’ai donc cherché dans mon armoire où sont rangés tous mes carnets, mes agendas et mes anciens répertoires abandonnés par
Le rouge de la vie

Le rouge de la vie

Aujourd’hui à l’atelier, leçon de couleurs. je m’installe à l’écart, sur une table d’un rouge dense, chaud et solide, une bonne assise. c’est un rouge orangé qui m’éblouit dès la naissance. je ne parle pas de la couleur de mes fesses, obsession maternelle : surtout qu’elles ne virent pas tomate ! comme le chaperon rouge je po
Jacques Réda

Jacques réda

Nul seigneur je n'appelle, et pas de clarté dans la nuit. la mort qu'il me faudra contre moi, dans ma chair, prendre comme une femme, est la pierre d'humilité que je dois toucher en esprit, le degré le plus bas, la séparation intolérable d'avec ce que je saisirai, terre ou main, dans l'abandon sans exemple de ce passage et ce total renversemen
Les chiens ne font pas des chats

Les chiens ne font pas des chats

Les chiens ne font pas des chats un polar normand par le collectif l'alduna 2019 qu'est devenu guillaume demay, cadre supérieur promis à un bel avenir dans l’industrie pharmaceutique ? c’est la question que se pose sa mère, marie-claude, ainsi que son patron le pdg de clb international à caen, qui charge p.h. sully, ancien flic - viré du s
L'obscur, poème

L'obscur, poème

Effondre toi là où tu marches et brûle d'un peu de soleil la nuit aiguise ses couteaux pour notre exil nécessaire mais toi l'obscur, toi le vivant je ne t'oublierai pas, tu seras de tous mes commencements dans l'ardeur de ma fuite je prononce ton nom sur l'écho de nos voix l'amour ne peut-être qu'éperdu nous nous retrouverons, je le sais evi
La couleur des ans

La couleur des ans

Au réveil de ma vie c’est le blanc qui est apparu l’éclair aveuglant de la lampe du docteur la douceur des langes le lait nourrissant . l’éclat du bleu quand il fallut grandir devenir un enfant sage pas turbulent, puis, la lumiére qui vacille petit à petit dans un sommeil noir. un réveil lent difficile la lumiére du retour à la vie se
Sur l'unique table

Sur l'unique table

Zuidlaren refuge des bois sous le cri des oies le vent, la pluie et la chute des glands sur le toit nos nuits sur le sol et la lune entre les rideaux sur l’unique table, le café et nos livres dans nos rêves, tu marches sur la lande vers cette rivière dont j'ai oublié le nom ta respiration la fête un soir d'octobre, ton regard sur la ville te
Terres d'élection

Terres d'élection

Remise de peine rien n’est perdu tout est enfoui à fleur de terre de mer, d’arbres ou de lisière dans des villes extasiées aux aubes imprécises sur des plaines éventées où je tisse en marchant des collines de nuages. rien n'est perdu tout est à oublier j’ai choisi les vivants et la peine et plus encore ceux que je ne connais pas. dans
Noires, chaque nuit réinvente le monde

Noires, chaque nuit réinvente le monde

Illustrations de l'auteure editions la passagère commander le livre commander la version numérique (sans illustration) noires, chaque nuit réinvente le monde, poèmes
Territoires

Territoires

Quand la nuit des banlieues s’installait sur les lisières anonymes, j’ai voyagé. j’ai vu le monde noir, nu et affamé en travelling sur les rails de mars j’ai senti son âme expirer d’un soupir dans les cendres des polymères un monde de peu de mots, de pas grand-chose au fond quand on ne fait que passer, qu’aimer d’un revers de pag