Lecteur, lectrice force m'est de constater encore une fois mon absence prolongée. tu as le droit de jeter des cailloux virtuels sur mon blog, je l'ai bien mérité (mais virtuels, les cailloux, parce que si tu jettes des vrais cailloux ton vas casser ton écran) (ou ta tablette si tu es trendy) (ou ton téléphone) (enfin le truc sur lequel tu lis

Lecteur, lectrice, je le sais, j'ai une fois de plus failli lamentablement à te tenir au courant de mes dernières péripéties. c'est pas de ma faute, j'étais occupée à devenir maître du monde et à frayer avec tellement de gratin (en tout cas c'est ce qu'on m'en dit) que j'ai l'impression de devenir une coquillette perdue au milieu d'un océ

Lecteur, lectrice, j'espère que tu vas bien. ca fait un bail qu'on ne s'est pas lus, toi et moi. j'ai été prise dans une faille espace-temps qui a pour nom "concours", et je n'en suis pas encore réellement sortie, alors désolée pour mon absence mais le retour à la normale est prévu pour bientôt. ces derniers jours, seulement, j'ai pensé

Lecteur, lectrice, j'espère que tu vas bien et que tu profites de l'arrivée imminente de noël pour te gaver de vin chaud et de pain d'épices recouvert de chocolat parce que c'est juste la vie. moi en tous cas, ça va de ce point de vue, je me transforme doucement en petit bibendum en ce moment, mais bon, c'est le gras protecteur, toussa toussa.

Lecteur, lectrice, j'espère que tu vas bien et que tu as passé une bonne semaine. en ce qui me concerne, ça va. j'ai fait du sport et des finances publiques, ce qui te donne un petit peu un aperçu de ma vie de rêve (je le sais bien que le principe d'annualité budgétaire ça t'envoie du rêve) franchement, pourquoi vouloir ioug djackmann quan

Lecteur, lectrice, je sais, je sais, je n'ai toujours pas posté depuis longtemps. tu m'excuseras, j'étais en train de sauver le monde de la terrifiante menace des ragondins. et des taupes. tu n'imaginerais pas à quel point une taupe c'est une menace à prendre au sérieux. moi tentant de traiter avec l'ennemi bref. depuis quelques temps, en plus

Lecteur, lectrice, j'espère que tu vas bien, et que tu profites de l'été qui arrive pour profiter de ses joies : boire des verres en terrasse, porter des tenues bien moins complexes du point de vue logistique (souviens toi, l'été pour ça, c'est trop bien ), manger des trucs grillés au barbecue, écouter les gens se plaindre de la chaleur, et

Lecteur, lectrice. non, je n'étais pas morte ou kidnappée par la mafia chinoise dans le but sordide de vendre mes organes au plus offrant (quand tant qu'à faire, madame la mafia chinoise, je vous recommande ni les genoux, ni les chevilles, ils sont un peu pourris) alors voilà. je suis de retour. parce que tu m'as manqué, vois-tu. mais j'ai une

Lecteur, lectrice, non, tu ne rêves pas, c'est bien moi, je suis de retour. ça fait longtemps que je ne t'ai pas infligé mes élucubrations, lectriçounette, lecteurounet. je t'en sais fort marri. mais ne pleure plus maintenant. c'est fini, je suis là. je suis désolée, je n'ai pas trop donné de nouvelles : j'avais plein de bonnes raisons qui

Lecteur, lectrice, j'espère que tu vas bien. moi ça va, en tous cas entre dex fiches sur les risques de déflation dans la zone euro et l'avenir du statut des lapins de patagonie. désolée, je te laisse un peu en plan en ce début d'année mais j'ai concours. un jour je te parlerai des joies que ça me procure, voire je te ferai un top des trucs