Il est libre mon garçon, face à la vie aux gens aux idées il va son chemin. ignorant les pendules il s'invente le temps, laissant les modèles pour les chiens savants. il crée ses formes et allume ses couleurs comme des feux de joie. son esprit est une flamme faite pour mordre et marquer, et non être gravée sans cesse de valeurs qui lui sont
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Littérature, BD & Poésie
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Parfois oui parfois non parfois quoi je ne sais pas et toi tu sais? pas d'importance ceci n'est qu'un essai.
Dans les bras de sa maman elle dort la mignonette, petite plume de tendresse. dans les bras de sa maman comme en un port, à l'abri des tempêtes, plume légère de paix et d'amour. dans les bras de sa maman bat trés fort un petit coeur, vite vite, vers la joie vers la vie. dans les bras de sa maman elle ne sait rien de tout cela, elle a chaud ell
Jany ne marchait pas sur l'eau, il marchait sous l'eau. il pleuvait. et lui allait, ce soir là, sous la pluie, vers l'amour, vers dieu et les hommes. il faisait un peu nuit, on n'y voyait rien à vrai dire. trois heures du matin. toutes et tous dormaient, sauf yves montand à bicyclette, à la radio. fini le vélo, passaient alors des musiques, de
Le vent venu du froid souffe les derniers rayons de soleil, la nuit couvre les joyeaux lumineux de la mer. les oiseaux se sont tus, les arbres prennent des formes de fantômes, et lèvent leurs longs bras maigres vers les étoiles silencieuses. a travers la forêt, la route comme un serpent blanchâtre, se glisse, de rocher en rocher vers des clair
Je voulais pleurer mais je n'ai pas eu le temps. de toute façon ma tristesse ne peut ramener l'amour qui a, peut être, existé, je doute de tout à présent. que valaient mes dérisoires carresses, et que vaudront les prochains jours.
Donnes à la nuit un ou deux mots une ou deux lignes, donnes à la nuit un brin d'amour un peu d'espace. donnes à la nuit un rêve mauve comme un voyage, donnes à la nuit un clair de lune et des étoiles. donnes à la nuit un souffle chaud qui te caresse, donne à la nuit quelques couleurs une lueur. donnes à la nuit des arbres hauts des sentier
Multitude,habitude confusion impuissance. mensonge et solitude angoisse et silence. la peur, le fou en tête à tête la peur le fou, la mort qui guette . le fou qui rode la peur qui veille, la peur qui rode, le fou qui veille. la mort la mort le fou a peur, la mort la mort, c'est bientôt l'heure. les cris du fou la mort est prête, la mort du fou
Je veux vous offrir, à vous femmes des temps passés et du présent, du même voyage qui est le mien, depuis si loin jusqu'à ici je veux vous offrir enfin tout cet amour et cette joie qui tant vous ont manqué. je veux vous voir sourire, illuminées.
Un regard dans la gare, prenez gare il est tard. le hasard yeux hagard, sur vos traces vous menace. la peur passe vous agace, puis vous glace. dans l'impasse c'est l'alarme, une lame fer sans âme vous réclame, quand mes larmes la désarment. le danger est passé, il criait "je l'aimais". vous marchez libérée. lhomme pleure, il est l'heure du bo