Philippe Martin : biographie
Homme politique français membre du SRC (mouvement socialiste, radical et citoyen), Philippe Martin s’est également illustré en intervenant notamment dans les prises de décisions écologiques à propos des OGM (organismes génétiquement modifiés) et, plus récemment, lors des évènements catastrophiques survenus en 2011 au Japon, concernant les répercussions sur l'environnement de ces évènements.
Premiers pas
Son enfance Philippe Martin né dans les Hauts de Seine (plus précisément à La Garenne Colombes) le 22 novembre 1953.
Sa carrière
Occupations politiques
Elu en 1998 au poste de Président du Conseil général du Gers dans le 32 (poste qu’il occupe toujours en 2011), il devient également, en 2001, adjoint au maire de Valence sur Baïse et est élu député de la 1ère circonscription du Gers l’année suivante (en 2002).
Occupations écologiques
Occupant le poste de Président du Conseil général du Gers, Philippe Martin a, avec l’aide d’une pétition ayant rassemblé plus d’1/10 de la population du Gers, soumis une requête visant à consulter les gersois avant les essais OGM en plein champs. Débouté de cette demande, Philippe Martin se retire du Grenelle de l’environnement en 2007.
Son action
En 1996, il fonde le club « Partenariat France », avec Yves Galland qui permet de faciliter l’exportation des petites et moyennes entreprises françaises. En 2004, il soutient le projet de loi de Richard Dell’Agnola pour le rétablissement de la peine de mort à l’encontre des auteurs d’attentats terroristes. En 2008, il se sert d’une méprise dû à son homonyme Philippe Martin, député UMP de la Marne, pour appuyer son argumentaire selon lequel le mouvement UMP n’est pas de taille à affronter la prise de décision concernant un projet de loi sur les OGM. Il a en effet reçu des mails particulièrement explicites, destinés au départ à Philippe Martin membre de l’UMP, et qui évoquaient la difficulté face à l’examen de ce projet de loi. En 2011, suite aux catastrophes subies au Japon (notamment dans le domaine du nucléaire) consécutives aux plusieurs séismes survenus, Philippe Martin fait appel au président de la République Nicolas Sarkozy afin que celui-ci convoque un G20 sur le thème de l’environnement/énergie afin d’évaluer l’impact sur les autres pays des incidents du Japon.