Les intolérances alimentaires de plus en plus courantes.
Tout d'abord, il faut faire la différence entre intolérance et allergie. Même si les deux sont proches, la différence se fait notamment dans les réactions. L'intolérance alimentaire signifie que notre estomac a du mal à digérer ou ne digère pas certains aliments. Tandis qu'une personne allergique sur le même principe ne tolère pas un produit, et réagit violemment à son contact.
L'intolérance alimentaire, la plus souvent associée aux nourrissons, touche de nos jours de plus en plus d'adultes. Elle apparaît sans avoir forcement de précédent. Les causes sont diverses et variées, une mauvaise alimentation, le stress, etc. Il existe tout un tas d'intolérances qui sont propres à chacun, celles qui sont les plus communes sont le lactose et le gluten, mais elle peut s'appliquer à une viande, un fruit ou légume, ou encore à d'autres aliments.
L'intolérance n'est pas découverte immédiatement, car avant de savoir quel(s) aliment(s) une personne ne digère pas, il faut un temps de recherche. Le plus souvent, on va consulter un médecin, car on a des symptômes gênants, tels que vomissements, ballonnements, crampes, nausées, constipation, diarrhée, coliques, colon irritable, troubles digestifs (estomac, intestin). Plusieurs solutions permettent d'établir la cause de l'intolérance, mais en fonction des procédés, cela prend du temps. La plus simple étant le régime d'exclusion. Pendant une période de 15/20 jours, on supprime un type d'aliment, par exemple tous les produits à base de gluten (pain, pâtes, semoule, farine de blé...), et on essaye avec différents aliments jusqu'à trouver le(s) bon(s) qui perturbe(nt) nos intestins.
Ce qui est important, c'est d’être suivi par un médecin (généraliste, diététicien...), car une fois identifiée et que l'alimentation est adaptée, cela soulage grandement la vie de tous les jours.