Christian Blanc : biographie
Tour à tour dirigeant d’entreprise, député et enfin préfet, Christian Blanc s’avère être un homme aux multiples facettes.%%% Passionné de politique mais en désaccord constant avec certains de ses confrères, il a démissionné plusieurs fois de ses fonctions afin de trouver un poste correspondant toujours plus à ses attentes.
Premiers pas
Né en Gironde le 17 mai 1942, Christian s’illustrera dès son plus jeune âge dans des fonctions d’organisation et de politique.
Ainsi, après avoir étudié au Lycée Montesquieu de Bordeaux, il rejoint l’Institut des Etudes Politiques, toujours à Bordeaux, et présidera, à tout juste 22 ans, la « Mutuelle Nationale des Etudiants de France » pendant 1 an.
Sa carrière
Ses débuts
Sa carrière débute dans les années 1970 lorsqu’il rejoint le groupe politique de Michel Rocard qui deviendra alors Maire de la commune de Conflans.
Ses différentes fonctions politiques
Plus confiant que jamais, il dirigera alors, de 1981 à 1983, le cabinet du commissaire européen Pisani Edgard.
Ses ambitions le pousse à se présenter et à obtenir en 1985 le poste de Préfet de Seine et Marne, qu’il occupera alors jusqu’en 1989.
Ses postes de dirigeants
La RATP lui ouvre ensuite les portes de sa direction en 1989 et ce, jusqu’en 1992, année pendant laquelle Christian Blanc préférera démissionner face à un gouvernement qui ne le soutient pas dans ses démarches.
Les 4 années suivantes (de 1993 à 1997) seront marquées par son occupation au poste de PDG de Air France, ainsi que les démarches concluantes mises en œuvre après avoir subi une crise à cette période.
Président de la banque « Merrill Lynch France » de 2000 à 2002, Blanc Christian connaîtra le malheur de vivre en direct les attentats du World Trade Center de New York du 11 septembre 2001 mais était fort heureusement sorti quelques minutes du bâtiment afin de pouvoir fumer un cigare.
Son action
Ses annonces Mécontent du temps à rallonge pris pour la mise en place des réformes, Christian Blanc appelle, en 2006, à ce que Jacques Chirac démissionne de ses fonctions. S’alliant à des politiciens de gauche et de droite, il décide, au cours de cette même année, de lancer un mouvement afin de moderniser l’économie actuelle de la France. Le projet de Christian Blanc En 2007, il manifestera alors son soutien à Nicolas Sarkozy et fondera, de son côté, son propre mouvement appelé « Energies 2007 » qui insiste sur la nécessité de mettre en place certaines réformes mais également sur la nécessité de renforcer la position occupée par la France aujourd’hui au sein de l’Union Européenne.