Je regardes ma couche désertée ou je ne puis me reposer je pense à ces moments passés ou l’un contre l’autre serrés nous dormions enlacés. c’est vraiment le passé. la souffrance fait rage depuis deux jours çà déménage ! elle s’infiltre dans mon corps ; partout ou elle passe, elle s’arrange pour laisser une trace ! mon corps mou
Camille
Camille
J’ai toujours aimé les mots.Je ne peux vivre sans m'exprimer.L'écriture de poèmes depuis l'age de 11 ans ou j'ai gagné un concours à la radio, contes pour enfants sur: http://enfants3colombes.free.fr/feecamille, Articles et éditos divers sur des endroits que j'ai aimé, j'aime partager mes joies
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BIENVENUE-CHEZ-CAMILLE
Je souhaite avant tout en faire un endroit convivial, ou vous aurez envie de revenir.Avant d'être invalide moteur à 80% je faisais plein de choses j'aimerai les partager avec vous. Je souhaiterai que vous y preniez la parole, que vous vous sentiez chez vous. Je souhaite de la gaité,de la culture,de la drôlerie, et un partage de ce que vous aimez. Je suis ouverte à tout et à tous.
Camille
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Toute la nuit patiemment elle a veillé comme une bête guettant sa proie ce matin toute heureuse, en forme, elle s’est déchaînée comme toujours elle est entrée avec brutalité mort corps brûlant de douleurs s’est affaissé humilié, en rampant, sur mon lit il s’échoua je suis restée paralysée toute la journée les larmes depuis longt
Souvent, en silence, je me remémore, je me souviens de notre enfance, de nos jeux, de nos secrets de nos querelles, de nos chamailleries. entre nous quelques fois cela valsait ! de seize mois mon aînée, tu es celle avec qui j'ai grandie. de toi, je n'ai pas assez profité. car très jeune tu t'es mariée, tu es partie. avec toi s'en allait une p
Une fille n'était pas retournée dans son village natal depuis 5 ans. un jour, elle arrive à la maison, mais elle n'a pas encore franchi le seuil, que son père l'enguirlande vertement où étais-tu tout c'temps là ? pourquoi ne nous as-tu pas écrit, même pas une carte postale? tu n'as jamais appelé. la fille se met à pleurer papa, je suis d
Écrire le nez au vent les yeux dans la lumière le cœur tout imprégné de rêves et de mystères cueillir chaque bonheur comme étant le dernier en se cachant des mortels s'en remettre en l'été marcher sur les sentiers de la vie et du temps accepter l'amitié comme un cadeau sans prix donner et recevoir quelle est belle la vie ancien retrouvé
Doucement sans déranger, ils avancent à petits pas ils réfléchissent à l’humanité qui traîne sa croix. les paroles à leurs yeux ont trop de puissance ils décortiquent ces mots qui sont pleins d’importance. les gestes hâtifs sont pour eux une atteinte à cette vie où tout mouvement vif se transforme en plainte les grandes réunions ne
Reconfort d'une vraie amitie mon amie ; c'est à toi que je m'adresse, je connais tes réactions, aussi je vais y aller avec délicatesse, mais je sais que de toute façon, quand même tu vas pleurer. toi et moi, sommes faites du même bois. un bois tendre, au cœur plein de sensibilité. tu me connais mon amie les jours où je déprime, ma façon
> hello !! > > > > > > > > > > > > > >le sottisier du bac > >(oui, c’est incroyable, “du bac” !!!) > >visions de la sexualité > >il faut des préliminaires car on n’entre pas dans la femme comme dans un moulin (vanessa, 17 ans, élève de terminale) > >(elle a tout compris elle …) > >organes féminins > >les femmes aspirent le sperme ave
La maison endormie au pied d’un marronnier, se meure à petit feu laissant pleurer ses pierres, une plaie à son toit dévoile son grenier, où doivent se cacher de vilaines sorcières. j’ai dans mes souvenirs les hôtes de ces lieux, deux frères paysans, petits propriétaires, l’un était curieux, l’autre disgracieux, ils étaient tous le
Si j'étais magicienne ailleurs que dans ma tête je transformerais tout pour que ce soit plus beau je voudrais que le monde entier soit une fête eclairée par l'amour comme par un flambeau je nettoierais la terre de toute pollution pour purifier enfin cet air que l'on respire je ferais un seul peuple, plus d'idée de nation plus de guerre, et la