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Articles récents de cette communauté
Chanson pour révolution coup de masse dans l’édifice pour leur annoncer notre réveil une fissure qui se propage, qui s’infiltre pour bien leur préciser qu’on se rebelle un cri qui déchire le ciel brise les vitres de la forteresse messieurs, vous derrière vos meurtrières il est trop tard, la voici votre guerre ! ecoutez nos chants si do
Si stupides à n’en connaître la raison nous sommes tous intrépides comme des logos en émotions ne connaissant pas le mot pire les lois des grands.. messieurs réduisent les écarts de raison et puisqu’on vote “au mieux” il n’y aura pas de quatrième révolution nous n’y voyons qu’une fenêtre celle qui nous est qu’entr’ouverte
« … mais il vaut mieux que je vous raconte ce que m’a dit un autre homme que j’ai rencontré l’année dernière. il y avait là une circonstance très étrange, étrange en ce que, finalement, ce genre de cas est rarissime. cet homme avait déjà été traîné, avec d’autres, sur l’échafaud, et on lui avait lu sa sentence de mort : f
Rien ne m’arrête pourquoi donc hésiter avant de parler ? il n’y a rien à cacher; je peux tout dévoiler moi, je ne suis pas de ceux qui s’amuse à trier leurs pensées moi, je ne suis pas peureux rien ne m’arrête je ne voudrais pas tout troubler les moeurs sont bien ancrés pourtant, cela doit changer comment ? moi, un révolté ? oui.
Chanson pour révolution coup de masse dans l’édifice pour leur annoncer notre réveil une fissure qui se propage, qui s’infiltre pour bien leur préciser qu’on se rebelle un cri qui déchire le ciel brise les vitres de la forteresse messieurs, vous derrière vos meurtrières il est trop tard, la voici votre guerre ! ecoutez nos chants si do
Toujours y croire il n’y a rien de pire comme poison douter, c’est se remettre en question douter, c’est hésiter sur ses capacités douter, c’est ne plus croire en soi douter, c’est avouer son infériorité il n’y a rien de pire comme poison peur d’entreprendre, conscience du risque qui pousse l’individu sur le bord de la touche pr
Votre secte mes amis nous sommes tous frères, nous, tous réunis et dieu est lumière vous savez, le mal c’est pas bien aimez-vous entre voisin et prochain et pour la grande farandole je vous suggère de vous tenir par la main. depuis vos tous premiers pas vers l’école depuis le baptême jusqu’au catéchisme avant vous n’étiez que poussi
Révolution c’est toujours les mêmes promesses c’est toujours les mêmes mensonges a chaque fois revient le problème de la société, des hommes et du monde qu’est-ce qu’on attend pour mettre le feu ? rebellion, haut et fort, ce serait si mieux il y a trop longtemps que cela perdure il faut détruire le système et le reconstruire beaucou
Le temps du révoltère depuis quelques années les choses ne cessent de s’aggraver depuis maintenant trop d’années la société est déséquilibrée manifestement, on part du mauvais côté tout s’accélère, un jour ça va péter l’avenir, c’est le mystère que reste-t-il à espérer ? je ne crois plus en rien je ne crois plus en perso
Expliquez-moi pourquoi je vis pourquoi j’existe pourquoi je meurt pourquoi je me désiste expliquez-moi quelle est ma mission quel est mon objectif quel est mon but quelle est ma raison expliquez-moi qui m’a crée qui m’a fondé qui m’a appelé qui m’a permis de respirer expliquez-moi pourquoi ce monde pourquoi cette planète pourquoi cet
Il suffit d’y croire quand l’anarchie régnera quand il n’y aura plus d’hommes pour imposer leurs lois quand le jour viendra où aucune personne ne veillera sur toi, impose ! oui, c’est sûr il y aura prochainement ou dans très longtemps une révolution d’un peuple en tourments le monde ne sera plus que chaos où la violence dominera l
Ils nous auront tous il y des années que je rame sur cette galère j’ignore tout, je ne sais pas où je vais je ne sais même plus quand je suis parti il y a si longtemps à présent... j’étais jeune et fort, pas comme aujourd’hui je croyais trouver un monde totalement fantastique comme ceux des films 100 % optimistes je me suis engagé, je
Rebellion lorsque l’heure de la vengeance sera venue lorsque le clan des pauvres et des exclus se rendront enfin compte de la stupidité d’un certain système nommé capitalisme, père impitoyable de leur longue exclusion devenus alors plus nombreux que leurs riches patrons trop nombreux pour ne plus réagir à cet affront le peuple rebelle emp
Réminiscences vous aviez cru que je vous avais oublié il n’en est rien et aujourd’hui je suis encore plus décidé que ce que vous m’aviez connu par le passé les jours meilleurs avaient pourtant laisser croire que... mais...la vision optimiste n’est-elle pas plus dévastatrice ? elle, qui vous fait poser les armes, parer les fenêtres de
Réfractaires on va pas se laisser faire par une bande de politiciens précaires on va pas jouer dans leur jeux ils en seraient bien trop heureux j’aurais pas cru que le pouvoir rendent les gens si insensibles j’aurais pas cru que mes espoirs etaient à ce point inaccessibles faut-il tout casser pour se faire entendre ? comme ces minables dans
Assez mon destin est tracé ma vie est calculée la société m’emprisonne j’en ai marre de cette conne assez ! j’vais tout changer j’vais m’évader les lois m’écrasent mon esprit devient inerte le système est dégueulasse c’est de la merde assez ! j’vais me rebeller j’vais tout casser la pyramide nous broie vous et moi né en b
Apocalypse j’ai vu des hommes mourir j’ai vu des arbres dépérir j’ai vu des fleurs se flétrir j’aurais voulu ne pas les voir j’aurais voulu ne pas y croire mais partout je ne voyais que le désespoir il était beau il était grand il y régnait le bonheur et la joie de vivre a présent les sanglots et le sang en sont les acteurs moi, j
"si les choses ne vont pas aussi mal pour vous et pour moi qu'elles eussent pu aller, remercions-en pour une grande part ceux qui vécurent fidèlement une vie cachée et qui reposent dans des tombes que personne ne visite plus." georges eliot.
malick a toujours été, en un sens, hors du temps : que ce soit par ses figures qui semblent traverser l
" j’avais dix-huit ans et j’étais amoureux. ma vie n’avait qu’un seul but : la traduire. mais comment trouver les mots justes pour la forme de la forme de ses seins ? pour le secret du secret de son sourire ? pour la profondeur ineffable de son regard sombre ? je voulais la traduire comme on traduirait un poème d’une langue qu’on aime
Apocryphe qualifie des écrits dont l’autorité est suspecte bien évidemment toutes les histoires appartiennent et se déclinent à ceux qui écrivent les mémoires avec leurs versions des plus fines ils y rajoutent tant de simples détails pour infirmer leur prétendue présence qu’à l’arrivée cette confuse broussaille devient un grand d
Révolution je m’en irai bientôt par monts et par vaux à la recherche des mots qui me font défaut je partirai un matin par le côté le plus malin n’étant ni un vaurien ni un moins que rien je réciterai des fables discret et très simple étant de nature aimable on me connaît en humble je visiterai des tombeaux mêmes de ceux de salauds
B je ne serai pas grossier car pour beaucoup.... mais à ne pas oublier qu’elle fait aussi b..... à force de trop d’eau et de repères utiles j’y ai reconnu où les eaux vont dans leurs fuites ainsi je ne serai le premier puisque je suis de ce groupe qu’on appelle les pionniers crachant et avalant leur soupe ceci n’est que le numéro deu
Un conseil de dirigeants amérindiens a proposé une amnistie partielle aux quelques 220 millions d'immigrants blancs clandestins vivant aux états-unis. c'est évidemment satirique, mais plein de bon sens si on allie histoire et justice. le problème des «blancs» fait l’objet de nombreux débats au sein de la communauté amérindienne depuis d
Où sont les morts où sont les vivants. c'est impossible à dire.
Il y a bien des frontières entre les gens. l'argent, par exemple. cette frontière-là, entre les lecteurs et les autres, est encore plus fermée que celle de l'argent. celui qui est sans lecture manque du manque. la muraille entre les riches et les pauvres est visible. elle peut se déplacer ou s'effondrer par endroits. la muraille entre les lect
Créer il est tant utilisé comme ces livres de femmes au foyer qui découvrent à vivre il est peu juxtaposé ne sachant écrire que lorsque qu’hurler dirait aussi découvrir il est souvent espéré comme un malin elixir qu’on a tant éprouvé a force de trop courir il est un mot top grand de celui passant les trousses de achaussons géants do
Chaud et froid tu le souffles calmement avec tant d’experience serais-tu donc ce serpent qui toujours tente sa chance ? ainsi tu cours avec le vent et n’a pas de principe sauf d’être caché dedans en grand opportuniste on a dû mal à te suivre et abandonne depuis longtemps les théories intrépides qui te classaient si simplement tu allumes
Contre elles de la brutalité le poignard du mâle est levé tuant en elles la petite fée elles sont sept cent et cinquante fois cent qui crient de peur silencieusement pour survivre dans leur vie clandestinement femmes aux larmes de peur séchées le mal bestial assassine l’humanité j’entend, j’entend vos pleurs muets je vois la marche boi
Hommage un très grand hommage aux très grands de ce monde : âmes nobles, aimantes et sincères qui passent. « garçon de quoi écrire » et « cet incomparable "enfant prodigue" immense idole de tous les temps » qui l’accompagne, celle qui a fait le bonheur de sa génération, et bien au-delà. tels des éclairs illuminant les cieux : de leu
" j'ai vu un jour ce qu'on ne voit jamais. j'ai vu quelqu'un mourir d'amour. c'était dans un café, un automne à paris. la jeune femme qui me parlait venait d'être abandonnée par un homme au cœur d'or. ils avaient partagé le pain de dix années entières. il l'a quittée comme on cesse de lire un livre, gagné en une seconde par un sommeil an
L'espace des mots un drap l'enveloppe et prend sens dans la parole qui s'éteint au bout du quai *** nous sommes à la lie des choses que le prolongement d'une hypothèse la pierre sombre que le ciel contemple *** chercher l'ombre dans les dédales le morceau de ciel dans la bouche du volcan chercher le paradis au fond du monde l'amour et le repos
Eric dubois. photo : © peter gabor, 2017.
eric dubois. photo : © peter gabor, 2017.
eric dubois. photo : © peter gabor, 2017.
merci à peter gabor. ( ndlr)
La revue le capital des mots que j'anime, vient de dépasser les 150 000 visites depuis sa création ( 27/10/2007). eric dubois
le capital des mots vient de dépasser les 150 000 visites depuis sa création ( 27/10/2007) . - dr
«combien faut-il de souffrance pour mettre au monde un poète ?»
"je suis le livre errant, le livre sans auteur. j’écris avec l’aide du vent qui tourne mes pages, avec l’aide du sang pourpre des feuilles des arbres. je suis l’errance, l’errance qui sait tout. en fait je n’écris pas, je me promène, mes deux cœurs en chaque main, comme des valises spirituelles. les pays sont devenus si proches qu
Les grand-parents tous joyeux le dos à moitié cassé, le sourire sur leurs visages des temps passés; maman chante un instant de sa vie papa fait des promesse à cette tendre famille réunie. l'oncle est pris au charme de son épouse ravissante la tante elle, tient son amant la silhouette épanouie. le frère pense égaré dans ses désirs de fai
Femme,tu es le miracle de la procréation,tu es ce mystère qui caractérise l’existentialisme.seule, tu demeures la combinaison magistrale de la douleur, de la reproduction et de l'amour maternel.en ton sein,il existe un paradis qui produit de petits anges.tu es une valeur convoitée;tout de même que tu un sacrée car tu risques la vie pour en
Le coeur peut aimer et battre à mourir, parfois il vit des peines, des défis qui aboutissent à des tragédies, il croit encore à l'âme soeur, essaye de garder les bons souvenirs, y croit toujours en existences des saints, mais les erreurs du coeur sont encore plus infernal que celles de l'esprit, il peut se tromper, se marier à la faiblesse,
Du jour au lendemain, je me suis noyée dans la nuit, et les nuances des nuits durant lesquelles j'ai attendu une étoile qui viendrait dépoussiérer ma vie, le noir enveloppé les traces de mes larmes tomber sur la lueur de ma fenêtre... du jour au lendemain, avec un regard si vide, si perdu qu'on aurait cru que j'avais plus d'âme, la sueur dé
Révolte toi, toi qui as l'impression de n'être qu'un grain de poussière dans un monde qui domine, pourtant tu ne ressemble à aucune femme, révolte toi pour ne pas être fausse, pour ne pas se laisser emporter par le temps qui passe, passivement sans aucune raison d'être... révolte-toi contre la lumière du passé, contre le ciel gris, réfug
Je me suis assises sur un banc, accrochée à des pensés dun passé, toujours prisonnières de ses baisers chaleureux mais maladroits, de ses caresses incertaines mais alarmantes, de cet amour incontrôlable mais fidèle. .. et je relève le défi d'un souvenir bercé de moments d'amour et de chagrin, d'un de pluie et de printemps, d'une saison ou
Parfois, il est dur de parler, dur d'ouvrir les yeux sur les jour d'hier, dur de se rappeler de la mélancolie des tombes...parfois, on se force à oublier le chagrin, tellement peur de prendre des coups, peur d'être à nouveau brisé... parfois, il est dur de garder son étoile brillé, dur de tout donné sans rien recevoir, dur de remplir ce gra
Je suis le soupire d'une créature opprimée, la chaleur d'un monde froid ou se trouve mon esprit exclu, des vallées d'état d'âmes émergent sur des fleuves imaginaire qui me recouvrent de fantaisie, la reconnaissance que le bonheur se représente en quelques moments ordinaires avec des traits de nostalgie de demain... et je m'aperçois dans une
Demain, c'est fini de nos programmes sont nés des rêves et nos rêves sont devenus nos réalités c'est ainsi que tout a changé on pensait rendre notre monde plus beau pour vivre mieux, aller plus vite et plus haut tout ça avec nos examots c'est que nos rêves sont aujourd'hui numérisés notre monde est devenu complètement automatisé l'humai
J'ai passé ma vie à compter les étoiles, en observant le soleil qui quitte le bord en laissant des couleurs vives dans le ciel... j'ai passé de longues heures, assises sur un banc de bois, cherchant une réponse sincère, afin de décoder le mystère de l'horizon...en cours de la découverte , j'ai pris le courage de s'aventurer dans un voyage
Je suis arrivée à ce point d’être ko debout, des tas de raison, des tas d'excuses, une petite épine au fond de moi, moi qui était sous les nuages, je suis au bout de rouleau... j'ai lâché mes défenses, soudain un coup de tonnerre m'écrase le dos, d'un claquement de doigt... j'ai été transformée, j'ai perdu mon identité, des vieux dé
Mon cœur teinté d'ivresse, est tombé du haut de la falaise en essayant d'illuminer l’obscurité d'un autre...il s'est incarné des substances chimiques pour se nourrir, en multipliant sa dimension dix fois de plus, afin de combler le vide d'autrui... mon cœur s'est pris en otage, s'est laissé emporter vers le terrain du bonheur, puis fut aba
Depuis la naissance des tombes, j'ai appris à voler, à courir, à tomber dans une boite argenté...j'étais dans une grande bulle remplit de rêves, soudain il est venu me cherché, son ombre est apparu innocemment dans mon miroir à couché, frappant à ma porte, j'ai sentie une fumée de danger, pourtant j'ai cédé au grand risque... depuis le
Le temps de la décadence il est bien loin le temps où l’homme vivait sa passion où il était libre de tout pas de société, de drogue, d’alcool ni d’argent pas de parti politique, de religion rien pour l’astreindre à devenir fou. les manipulateurs de conscience, les fléaux démagogiques, les sécrétions néfastes de la science, les m
Souvenirs de guerre elle s’en va elle s’en revient à petits pas de mon chemin comme le pendule de mon destin elle simule une fin mon coeur se flétrit de chagrin oh mon amie ! j’ai si mal... voici ma vie voici mon journal de mille ennuis de douceurs invisibles que restes de plaisir, de liberté ! que restes de désirs à jamais oubliés elle
Sombré rien ne sert de souffrir lorsqu’il n’y a plus d’espoir il vaut mieux parfois mourir lorsque vous étouffe le désespoir rien ne sert d’attendre lorsqu’on est sûr de sa fin il vaut peut-être mieux suspendre sa résistance; je le crains lorsqu’on a tout donné, tout essayé, tout tenté lorsque tout a été envisagé, que faire
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